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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 21:16
Après Al Jazeera, Al Maghribia s’attaque à l’Algérie Contrairement à leur principale vocation, des médias lourds ont été conçus uniquement pour faire de la désinformation et de l’apologie au terrorisme. Ainsi après Al-Jazeera, c’est une autre chaîne satellitaire qui s’est lancée dans la désinformation, l’incitation à la violence et l’apologie au terrorisme.   

al magharibia.jpg

  Financée par le Qatar et dirigé par le fils de Abassi Madani, l’ex-chef du Fis dissous, la chaîne El- Maghribia émet ses programmes à partir de la Grande Bretagne. Cette chaîne qui fait semblant de suivre l’actualité dans le Maghreb arabe s’est acharné sur l’Algérie depuis sa mise en service. Les «journalistes » de cette chaîne incitent les citoyens à la rébellion et à la violence et font de l’apologie au terrorisme. Les téléspectateurs de cette chaîne sont issus à 100% de l’ex-FIS dissous et des extrémistes islamistes dans le monde arabe. Chaque jour, la chaîne El-Maghribia donne la parole aux dizaines d’intervenants islamistes qui n’arrêtent pas de donner des fausses informations sur l’Algérie. Comme l’avait fait Al jazzera durant plusieurs années, El-Maghribia prend le relais et se lance dans la désinformation pour tenter de nuire à l’Algérie. L’ensemble des informations données par cette chaîne sur l’Algérie sont quasi-fausses. Les animateurs de cette chaîne sont des «Algériens» bien connus par leur acharnement contre l’Algérie. Certains de ces pseudos-journalistes sont des militants et des sympathisants islamistes. Des dizaines de citoyens ont pris attache avec notre rédaction dénonçant l’acharnement de cette chaîne à l’endroit de l’Algérie. Les invités de la chaîne sont non seulement des activistes islamistes mais ont des antécédents avec le terrorisme. Le «hic» est que la Grande-Bretagne qui se veut un pays qui lutte conte le terrorisme islamiste trouve le moyen d’accueillir sur son sol des «médias» qui incitent à la violence tout en instrumentalisant la religion. Une autre question qui mérite d’être posée est la suivante : que font les responsables du haut conseil supérieur de l’audiovisuel et de déontologie ? Doivent-ils ramasser de l’argent et se taire sur ces graves dépassements. Les autorités algériennes ne doivent pas rester les bras croisés sur ce sujet et devraient saisir les tribunaux compétant pour remettre ces agitateurs à leur place. La liberté d’expression ne veut jamais dire inciter à la violence ou faire de l’apologie au terrorisme.

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