Ainsi, après les Mythomanies de Souadia en voilà un certain Karim Moulaï qui se revendique être un ex-membre de la DRS qui est utilisé pour tenter de souiller l’image de la meilleure institution du peuple. En effet, les nombreuses crises et les différents événements et conflits qui ont secoué le pays, l’Algérie auraient pu rejoindre la «Yougoslavie», redevenir un Afghanistan bis ou connaître le même scénario des pays soufflés par le dit «printemps arabe». Face à ces terribles situations, le pays a pu rester debout et ce, grâce à une véritable muraille nommée : Armée nationale populaire. Des milliers de ces enfants du peuple se sont sacrifiés pour sauver la République et l’Algérie. Cette réalité n’a pas été appréciée par les ennemis de l’Algérie qui voulaient à tout prix déstabiliser le pays. L’institution à l’origine de la sauvegarde du pays à savoir l’armée nationale populaire est redevenue la cible de ceux qui ont juré de détruire l’Algérie. Après avoir été désavoués dans le passé en voulant impliquer les forces de sécurité dans le massacre de Bentalha, l’assassinat de Boudiaf et de Maatoub, les ennemis de l’Algérie ne désarment pas et évoquent une autre fois l’affaire des moines. Comme d’habitude, ce sont les témoignages d’un autre membre du DRS qui est évoqué. Après les mensonges de Souaidia, c’est derrière les facéties d’un certain Karim Moulai que s’accrochent les inventeurs de la fameuse phrase de : Qui tue qui ? Ce dernier aurait indiqué aux juges que les malheureux moines auraient été enlevés et assassinés par des membres du DRS. Quelle horreur, quelle stupidité ? C’est le site d’information français Médiapart cité par le magazine Jeune Afrique qui a rapporté qu’un nouveau témoignage recueilli par le juge anti-terroriste français, Marc Trévidic mettant en cause l’ANP dans l’enlèvement et l’assassinat des moines français de Tibehirine, en 1996. Ces mystifications représentent un second assassinat pour les défunts moines qui n’arrêtent certainement pas de pivoter au fond de leurs tombes. Ce n’est pas la première fois que les forces armées sont impliquées dans de telles histoires. A chaque événement désastreux, l’institution militaire est montrée du doigt et est accusée de l’imaginable. Certaines accusations ont dépassé parfois le «n’importe quoi», lorsqu’on entend dire que la création du GIA, AIS, GSPC et autres groupes terroristes sont l’œuvre de l’armée nationale, disaient-ils. A ce même sujet, les inventeurs de ces mesquineries se contredisent en indiquant que l’armée a négocié avec les éléments de l’AIS ( Armée islamique du Salut» qui ont accepté de déposer les armes. Si ce groupe terroriste appartient à l’armée pourquoi entretenir des négociations alors ? Cette question ne mérite même pas une réponse car les plus grands imbéciles du monde ne pourraient pas croire à ces âneries. Ne s’arrêtant pas là, les «amis» de l’Algérie multiplient les accusations contre les forces armées, les accusant comme étant les pires ennemis du peuple. Une chose est sûre, les «défenseurs de Algérie» ne savent certainement pas encore que l’ANP, c’est elle, le peuple. Sommes-nous obligés encore de rappeler aux ennemis de l’Algérie que les éléments des forces armées sont des citoyens algériens et non pas des mercenaires ?