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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 21:53
Dans une conférence de presse tenue à Damas, le porte-parole du ministère des affaires étrangères et des émigrés, Johad Maqdissi, a démenti catégoriquement toute responsabilité des forces de sécurité dans le massacre d’Al-Hola dans la banlieue de Homs. «Les terroristes se sont vengés des citoyens d’El-Hola parce qu’ils ont refusé de s’associer avec l’opposition», devait ajouter le porte-parole du gouvernement syrien.


syrie 27.jpg

 

«Nous dénonçons sévèrement ce massacre terroriste commis contre le peuple syrien et contre les enfants de ce pays» a indiqué le porte- parole syrien. Il a également indiqué que l’Etat syrien dénonce les accusations portées contre les forces syriennes», a-t-il précisé, affirmant que l'Etat syrien est responsable de la protection des civils, conformément à la Constitution et qu'elle conserve le droit de défendre ses citoyens. «Ce qui s'est passé n'est pas de l'intérêt de l'Etat syrien. Nous ne marchandons pas le sang de notre peuple», a-t-il poursuivi. Maqdissi a fait noter qu'il est injustifiable de porter l'arme contre l'Etat quel que soit le motif politique, précisant que depuis l'approbation du gouvernement du plan d'Annan, le terrorisme et la criminalité se sont accentuées car certains ne veulent pas le succès de ce plan. M. Meqdassi a mis en doute le temps suspect des attaques qui coïncident avec la visite prévue de l'émissaire onusien pour la Syrie, Kofi Annan, pour apporter un coup au processus politique. «Aucun char ni une artillerie ne sont entrés à Al-Hola. Les forces du maintien de l'ordre n'ont jamais quitté leurs positions. Elles étaient dans un état d'autodéfense», a-t-il martelé, précisant que la méthode de tuerie brutale n'est pas des mœurs de l'armée syrienne, et que celui qui tue n'est pas une armée régulière mais des groupes terroristes armés. Il a affirmé, à cet effet, que le gouvernement a formé un comité judiciaire militaire qui va enquêter sur le massacre et annoncer les résultats dans trois jours. Maqdissi a signalé, à cet effet, plus de 3 500 violations authentifiées commises par les groupes terroristes armés, précisant que l'instabilité est un environnement prospère pour les terroristes, ajoutant qu'il y a en Syrie Al-Qaïda et des takfiriyines mais nous n'allons pas les laisser profiter de cet environnement quelle que soit la dureté de l'affrontement. Il a insisté, dans ce sens, que le règlement de la crise est en tendant la main au gouvernement syrien. Des groupes terroristes de l'organisation d'Al-Qaïda ont commis deux massacres abominables contre un bon nombre de familles dans les localités d'Al-Chomaryeh et de Taldo dans la banlieue de Homs, et ce, dans le cadre de l'escalade de leurs crimes et de leur terrorisme avant la tenue d'une séance du Conseil de sécurité et à la veille de la visite prévue de Kofi Annan, émissaire des Nations unies en Syrie. La source a fait savoir que des groupes terroristes de l'organisation d'Al-Qaïda avaient commis des massacres odieux contre les familles dans le village d'Al-Chomaryeh dans la banlieue de Homs et perpétré de vastes actes de sabotage. La source a ajouté que les terroristes avaient tué la famille de Mohamed Abdel Nabi Abdallah, sa femme et ses six enfants, et aussi le civil, Rateb al-Elo et son fils.

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 21:41
Dans une conférence de presse tenue à Damas, le porte-parole du ministère des affaires étrangères et des émigrés, Johad Maqdissi, a démenti catégoriquement toute responsabilité des forces de sécurité dans le massacre d’Al-Hola dans la banlieue de Homs. «Les terroristes se sont vengés des citoyens d’El-Hola parce qu’ils ont refusé de s’associer avec l’opposition», devait ajouter le porte-parole du gouvernement syrien.
 
syrie 27.jpg



«Nous dénonçons sévèrement ce massacre terroriste commis contre le peuple syrien et contre les enfants de ce pays» a indiqué le porte- parole syrien. Il a également indiqué que l’Etat syrien dénonce les accusations portées contre les forces syriennes», a-t-il précisé, affirmant que l'Etat syrien est responsable de la protection des civils, conformément à la Constitution et qu'elle conserve le droit de défendre ses citoyens. «Ce qui s'est passé n'est pas de l'intérêt de l'Etat syrien. Nous ne marchandons pas le sang de notre peuple», a-t-il poursuivi. Maqdissi a fait noter qu'il est injustifiable de porter l'arme contre l'Etat quel que soit le motif politique, précisant que depuis l'approbation du gouvernement du plan d'Annan, le terrorisme et la criminalité se sont accentuées car certains ne veulent pas le succès de ce plan. M. Meqdassi a mis en doute le temps suspect des attaques qui coïncident avec la visite prévue de l'émissaire onusien pour la Syrie, Kofi Annan, pour apporter un coup au processus politique. «Aucun char ni une artillerie ne sont entrés à Al-Hola. Les forces du maintien de l'ordre n'ont jamais quitté leurs positions. Elles étaient dans un état d'autodéfense», a-t-il martelé, précisant que la méthode de tuerie brutale n'est pas des mœurs de l'armée syrienne, et que celui qui tue n'est pas une armée régulière mais des groupes terroristes armés. Il a affirmé, à cet effet, que le gouvernement a formé un comité judiciaire militaire qui va enquêter sur le massacre et annoncer les résultats dans trois jours. Maqdissi a signalé, à cet effet, plus de 3 500 violations authentifiées commises par les groupes terroristes armés, précisant que l'instabilité est un environnement prospère pour les terroristes, ajoutant qu'il y a en Syrie Al-Qaïda et des takfiriyines mais nous n'allons pas les laisser profiter de cet environnement quelle que soit la dureté de l'affrontement. Il a insisté, dans ce sens, que le règlement de la crise est en tendant la main au gouvernement syrien. Des groupes terroristes de l'organisation d'Al-Qaïda ont commis deux massacres abominables contre un bon nombre de familles dans les localités d'Al-Chomaryeh et de Taldo dans la banlieue de Homs, et ce, dans le cadre de l'escalade de leurs crimes et de leur terrorisme avant la tenue d'une séance du Conseil de sécurité et à la veille de la visite prévue de Kofi Annan, émissaire des Nations unies en Syrie. La source a fait savoir que des groupes terroristes de l'organisation d'Al-Qaïda avaient commis des massacres odieux contre les familles dans le village d'Al-Chomaryeh dans la banlieue de Homs et perpétré de vastes actes de sabotage. La source a ajouté que les terroristes avaient tué la famille de Mohamed Abdel Nabi Abdallah, sa femme et ses six enfants, et aussi le civil, Rateb al-Elo et son fils.

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 21:16
Après Al Jazeera, Al Maghribia s’attaque à l’Algérie Contrairement à leur principale vocation, des médias lourds ont été conçus uniquement pour faire de la désinformation et de l’apologie au terrorisme. Ainsi après Al-Jazeera, c’est une autre chaîne satellitaire qui s’est lancée dans la désinformation, l’incitation à la violence et l’apologie au terrorisme.   

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  Financée par le Qatar et dirigé par le fils de Abassi Madani, l’ex-chef du Fis dissous, la chaîne El- Maghribia émet ses programmes à partir de la Grande Bretagne. Cette chaîne qui fait semblant de suivre l’actualité dans le Maghreb arabe s’est acharné sur l’Algérie depuis sa mise en service. Les «journalistes » de cette chaîne incitent les citoyens à la rébellion et à la violence et font de l’apologie au terrorisme. Les téléspectateurs de cette chaîne sont issus à 100% de l’ex-FIS dissous et des extrémistes islamistes dans le monde arabe. Chaque jour, la chaîne El-Maghribia donne la parole aux dizaines d’intervenants islamistes qui n’arrêtent pas de donner des fausses informations sur l’Algérie. Comme l’avait fait Al jazzera durant plusieurs années, El-Maghribia prend le relais et se lance dans la désinformation pour tenter de nuire à l’Algérie. L’ensemble des informations données par cette chaîne sur l’Algérie sont quasi-fausses. Les animateurs de cette chaîne sont des «Algériens» bien connus par leur acharnement contre l’Algérie. Certains de ces pseudos-journalistes sont des militants et des sympathisants islamistes. Des dizaines de citoyens ont pris attache avec notre rédaction dénonçant l’acharnement de cette chaîne à l’endroit de l’Algérie. Les invités de la chaîne sont non seulement des activistes islamistes mais ont des antécédents avec le terrorisme. Le «hic» est que la Grande-Bretagne qui se veut un pays qui lutte conte le terrorisme islamiste trouve le moyen d’accueillir sur son sol des «médias» qui incitent à la violence tout en instrumentalisant la religion. Une autre question qui mérite d’être posée est la suivante : que font les responsables du haut conseil supérieur de l’audiovisuel et de déontologie ? Doivent-ils ramasser de l’argent et se taire sur ces graves dépassements. Les autorités algériennes ne doivent pas rester les bras croisés sur ce sujet et devraient saisir les tribunaux compétant pour remettre ces agitateurs à leur place. La liberté d’expression ne veut jamais dire inciter à la violence ou faire de l’apologie au terrorisme.

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 22:56
Les forces de sécurité ont été obligées d’intervenir pour rétablir l’ordre et pour disperser les dizaines d’islamistes qui ont violé les lois de la République, défié ainsi l’état et créant un véritable désordre dans les rues de Kouba (Alger). Cet état de fait a provoqué la colère et l’indignation des citoyens qui s’interrogent sur ces excès et se demandent jusqu’à quand ces énergumènes continuent-ils de menacer l’intégrité et la sécurité du pays ?    

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Vêtus de Kamis et portant de longues barbes, les manifestants ont scandé des slogans des années 1990 et ont repris des refrains connus dans plusieurs pays touchés par le « printemps arabe. Comme d’habitude, Ali Belhadj et les siens ont saisi l’occasion de la prière du vendredi pour inciter les fidèles à sortir dans la rue, créant ainsi un véritable désordre et appelant les citoyens à se rebeller contre le pouvoir. Brandissant des pancartes, les militants de l’ex-fis ont scandé des refrains hostiles à la République. Ces slogans des années 1990 qui ont mis le pays à feu et à sang ont été encore une nouvelle fois repris à cor et à cris par des dizaines d’islamistes.
L’anarchie des années 1990 est revenue ce 25 Mai 2012
« Nous rentrons au parlement avec le Coran et la sunna. La Mithak la destour Kal Allah, Kal Arrassoul. Achaab Yourid Iskate Anidham. Achaab Yourid Iskate Al Barlamen».  Tels sont les slogans répétés par les manifestants alors que des « barbus » ont même demandé à des citoyens de se joindre à eux pour libérer le pays, selon eux. Il a fallu l’intervention des forces de police d’intervenir pour disperser les manifestants. Dans la foulée, Ali Belhadj et quelques meneurs ont été interpellés par la police. Après avoir été entendus 40 militants de l’ex-Fis ont été relâchés. Ali Belhadj et son gendre Abdeldjbar ont été placés en garde à vue et devraient en principe présentés devant le tribunal. Ces procédures sont considérées habituelles et dérisoires par les militants de l’ex-Fis, ne les empêchent pas de récidiver dans le futur. Des dizaines de courriers sont parvenus à notre rédaction par lesquels, les citoyens se sont insurgés sur ces anciennes pratiques à l’origine de la décennie rouge et qui a couté très cher au peuple Algérien. « Jusqu’à ces individus  continuent-ils de tenter de menacer le pays ? » ont-indiqué les citoyens dans leurs courriers. Mosquée où lieu de propagande ? A travers leurs courriels, les citoyens se sont également interrogés sur les endroits qui censés d’être des lieux de cultes et qui se voient dévier de leur véritable vocation. Un lieu où se regroupe des fauteurs de troubles et à son niveau des documents subversifs sont élaborés ne peut plus être une mosquée. Cet endroit devrait être mis sous scellés par la justice comme n’importe quel autre lieu qui s’adonne à .  C’est le cas de la  mosquée Baptisé par les militants du FIS « Al wafa Bil Ahd», reconverti en une véritable boite de Pandore.
Les Algériens ont pardonné mais n’ont pas oublié : Pour mettre fin à l’effusion de sang entre Algérien, le peuple  a adhéré aux diverses lois de paix entre autre la réconciliation nationale, conçue par le Président de la république. Cet état de fait a préservé la vie à des milliers de jeunes égarés qui ont pu rejoindre leur famille et se sont réintégrés dans la société. Si les Algériens ont pardonné, cela  ne veut pas dire qu’ils avaient oubliés et n’accepteront jamais de voir leur pas basculé dans l’anarchie, le désordre et la violence. Afin que ces pratiques ne se reproduisent plus,  il est demandé à l’état d’intervenir avec la plus grande fermeté et que les auteurs soient sévérement punis.
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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 22:54
Des salafistes ont attaqué des clients de plusieurs bars et d’autres fonds de commerce à l'aide de bâtons et de couteaux. Les commerçants ont riposté, pourchassant les salafistes jusqu'à la grande mosquée de Sidi Bouzid et ouvrant le feu sur les assaillants, d'après ces témoignages. A Jendouba, des dizaines d’islamistes ont attaqué et incendier un commissariat de police.
 

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Des impacts de balles étaient visibles lundi sur les murs de la mosquée. «Ils ont franchi toutes les lignes rouges et seront punis avec sévérité», a promis le ministre de la Justice, Nourridine Bouheri, sur la radio Express FM. «L'ouverture dont ils ont bénéficié est terminée», a-t-il ajouté. Sidi Bouzid, dans le centre-est déshérité de la Tunisie, est le point de départ du soulèvement qui a chassé du pouvoir en janvier 2011 le président Zine Ben Ali. Un jeune chômeur diplômé s'y était immolé par le feu pour protester contre la révocation par la police municipale de sa licence de vendeur à la sauvette. Les salafistes souhaitent que la Tunisie nouvelle fasse une place plus grande à la «charia», la loi coranique, alors même que ce pays est historiquement le plus avancé dans le monde arabe en matière de laïcité. Depuis la «révolution», l’insécurité et l’anarchie règnent en Tunisie. Les islamistes voulaient imposer leur diktat par la violence en multipliant les agressions à l’encontre de ceux qui ne partagent pas leur idéologie désastreuse. Les Tunisiens qui ont l’habitude de vivre sous le parapluie de la laïcité se voient aujourd’hui menacé par des groupes intégristes qui veulent imposer la charia par la force. Plusieurs Tunisiens ont indiqué que la dictature de Ben Ali était 100 fois mieux qu’aujourd’hui. Il y a quelques jours, le chanteur Slah Mosbah invité du talk-show «Labes»» de la chaîne Attounissia a rendu un vibrant hommage au président déchu Ben Ali. La gratitude de Mosbah, il l’explique par le soutien qu’il a reçu de l’ancien président qui a contribué à le libérer de prison dans une affaire dans laquelle le chanteur s’estime innocent. Un autre journaliste a indiqué que sous Ben Ali, la vie politique était simple du fait qu’il avait un seul parti politique, ajoutant : «Maintenant, il y a une centaine de parties et j’avoue que j’ai du mal à retenir tous les noms des nouveaux apprentis politicards qui sont certes novices dans la vie politique mais j’ai bien le sentiment qu’ils excellent eux aussi dans la langue de bois et dans le carriérisme.» Le journaliste a également déclaré : «Sous Ben Ali, quand j’avais besoin d’un passe-droit, je savais à qui m’adresser. Après Ben Ali, l’administration est devenue tellement gangrenée par la corruption qu’il faut arroser un tas de gens pour arriver à ses fins. Autant dire que mon budget pot-de-vin a augmenté depuis la révolution de la dignité.» Malgré la dictature de l’ancien régime, les Tunisiens ont indiqué qu’ils vivaient librement et chacun pouvait tranquillement s’adonner à leur plaisir coupable de siroter des bières à la terrasse d’un bar au soleil. Les citoyens ont ajouté qu’après Ben Ali, la situation s’est dégradée et personne ne reconnait la Tunisie d’antan où la sécurité et la paix régnaient.

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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 22:50
Ahmed Chafik, l’ex-Premier ministre de Hosni Moubarak, et l’islamiste Mohamed Morsi se disputeront la présidence égyptienne au second tour de l’élection présidentielle qui aura lieu les 16 et 17 juin prochain. Si Mohamed Morsi compte sur les autres partis islamistes pour l’appuyer, Ahmed Chafik a préféré s’adresser directement au peuple, en leur faisant savoir que leur révolution a été volée. La bataille du second tour a déjà commencé et en cas de victoire de Mohamed Morsi, les islamistes mettront main basse sur l’Egypte.
 
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Ahmed Chafik a indiqué dans une conférence de presse qu’il s’engage à préserver les acquis de la révolution et de rétablir la sécurité. «On vous a volé votre révolution», a-t-il déclaré en s'adressant à un groupe de jeunes. «Je m'engage à déposer entre vos mains les fruits» de la révolution. Selon cet ancien général, considéré comme un cacique de l'ancien régime, «on ne peut pas revenir en arrière», ce qui ne veut pas dire qu'il faut laisser le pays «être aspiré par le chaos». Il s'en est pris indirectement aux Frères musulmans, jouant sur la peur de la minorité copte et des libéraux laïques en cas de victoire du candidat islamiste à la présidentielle. «Personne ne doit être exclu ou marginalisé», a-t-il dit. «Chacun à le droit de faire partie de la nation égyptienne » a-t-il martelé. Il a même appelé les jeunes révolutionnaires du 6 Février à voter pour lui pour instaurer la démocratie et rétablir la sécurité. Les Frères musulmans ont affirmé, vendredi, que leur candidat Mohamed Morsi était arrivé en tête du premier tour de l'élection présidentielle en Egypte devant Ahmed Chafik, contre lequel ils ont immédiatement entrepris d'unir les forces hostiles à l'ancien régime, indiquant qu’ils voulaient sauver la révolution et appelant l’ensemble des islamistes à faire bloc devant l’ex-Premier Ministre Ahmed Chafik. Selon un membre de la confrérie, des invitations ont été adressées aux candidats éliminés au premier tour afin de discuter sur la désignation du vice-président et la composition d'un futur gouvernement de coalition en cas de victoire. Parmi les personnalités conviées à ces pourparlers, figureront Abdel Moneim Aboul Fotouh, autre candidat islamiste précédemment exclu de la confrérie, et Hamdine Sabahi, représentant de la gauche nassérienne, a dit Yasser Ali. Sans appeler explicitement à voter en faveur de Mohamed Morsi, Abdel Moneim Aboul Fotouh a d'ores et déjà exprimé l'intention de participer «au front uni contre les symboles de la corruption et de l'oppression»». La commission électorale pourrait ne pas annoncer les résultats officiels avant mardi, mais un juge de haut rang participant à la supervision du scrutin a confirmé que sur la base de 90% des bureaux de vote, Mohamed Morsi et Ahmed Chafik, ancien chef de l'armée de l'air sous Moubarak, étaient en tête. En somme, l’élection de Mohamed Morsi donnerait l’ensemble des pouvoirs aux islamistes qui contrôlent déjà l’Assemblée nationale. Contesté non seulement par les islamistes mais également par les révolutionnaires, Ahmed Chafik enflammerait de nouveau l’Egypte en cas de victoire.

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24 mai 2012 4 24 /05 /mai /2012 19:48
 Selon les premiers sondages à la sortie des urnes Ahmed Chafik, serait largement en tête dans ces élections Présidentielles Egyptiennes.

ahmed chafik 2.jpg 

Toujours et selon ces sondages, Amr Moussa occupe la seconde place suivi de l’islamiste Abdel Mounaam  Abou El Fouthouh  

 

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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 18:45
 

A quinze jours de la fin de l’ultimatum fixé par les éléments de l’organisation terroriste du Mujao, aucune nouvelle n’a été donnée sur le sort des diplomates Algériens enlevés au Mali le 5 avril dernier. Les ravisseurs avaient donné, mardi 8 mai, 30 jours aux autorités algériennes pour verser une rançon de 15 millions d’euros.

 

le compte à rebours.jpg

 

 

Le Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao), qui détient sept diplomates algériens enlevés le 5 avril à Gao (Mali), avait lancé un ultimatum au gouvernement algérien, indiquant que l’Algérie avait devant elle 30 jours pour satisfaire ses revendications pour la libération des diplomates. Les terroristes, et comme on s’y attendait, ont demandé 15 millions d’euros contre la libération des diplomates. Depuis aucune nouvelle n’a été donnée sur la situation ou l’état de santé des otages. L’Algérie est connue par ses principes de ne pas verser de rançon, de ne pas négocier et de ne jamais céder au chantage des terroristes, et tenterait de libérer les otages par d’autres méthodes. Il n’y pas 36 solutions, mis à part une éventuelle collaboration des éléments du Front national de libération de l’Azawad ou le recours à la force. Le FNLA, qui veut à tout prix éviter un conflit direct avec l’Algérie, tente par l’ensemble des moyens de faire des pressions sur le Mujao pour libérer les diplomates. A défaut de verser de l’argent aux terroristes, le FNLA compte sur l’autre groupe armé islamiste,Ansar Eddine, pour convaincre le Mujao de procéder à la libération des diplomates. Connaissant parfaitement la haine et la cruauté des groupes armés islamistes, les chances de voir les otages libérer à titre humanitaire ou par la voix de la diplomatie sont très minimes pour ne pas dire impossibles. Se trompent énormément ceux qui font la différence entre le GSPC, Al-Qaïda, Mujao ou autres groupes armés qui instrumentalisent l’islam à des fins politiques ou pour s’enrichir. L’idéologie est la même, seules les appellations changent. A ce titre, il semble que l’utilisation de la force semble l’hypothèse la plus approprié pour délivrer les otages. Si tel est le cas, nous considérons d’ores et déjà que le compte à rebours est lancé pour libérer les diplomates.

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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 18:44
Comme on s y attendait, la nébuleuse organisation terroriste a revendiquée le sanglant attentat qui a fait Plus de 96 morts et prés de 300 Blessés. C’est le Ministre de la défense en personne qui a été visée a indiquée Al-Qaïda, indiquant qu’elle poursuivrait ses actions à Sanaa si toutefois l’armée ne mettrait pas fin à ces opérations militaires au Sud.      

attentat yemen.jpg

Au lendemain de cet attentat, l’origine de l’explosion n’a pas encore été élucidée. Si certains témoins parlent d’un Kamikaze, d’autres sources évoquent un véhicule bourré d’explosif qui est à explosé au milieu des militaires. Une autre hypothèse n’est pas à écarter à savoir une bombe déposée la veille sur la place avant qu’elle ne soit explosée durant la matinée. Les militaires visés étaient entrain de répéter une  parade militaire devant marquer le 22ème anniversaire de l'unification du Yémen avant qu’ils ne soient surpris par la forte déflagration. Cet attentat intervient au moment où une vaste opération de l'armée est menée contre « Al-Qaïda» Dans le sud du pays. Le ministre de la Défense et le chef d'état-major assistaient à cette répétition mais ils n'ont pas été touchés par l'attentat. « L’ensemble des victimes sont des officiers et des soldats", a affirmé une source militaire. Les victimes ont été transportées dans sept établissements hospitaliers de la capitale, selon des sources médicales. Le président Abd Rabbou Mansour Hadi a qualifié cet attentat de barbare et criminel a promis de tutter contre le terrorisme dans ce pays jusqu’à son éradication. La ligue Arabe, l’union africaine, l’Onu, et les Etats-Unis d’Amérique ont condamné cet attentat. Cet attentat est une réponse claire à ceux qui ont indiqué que le départ de l’ex-Président Ali Abdallah Saleh mettrait fin aux violences dans le pays. Bien au contraire, le départ de Ali  Abdallah Saleh a encouragé les intégristes à multiplier leurs offensifs que se soit au Sud et au Nord du pays. Plusieurs villes ont été occupées par les éléments d’Al-Qaïda qui par la force ont contraint les populations à respecter la loi Islamique. La question qui mérite d’être posée est la suivante : Mais où sont passés les milliers de manifestants qui ont réclamé à cor et à cri le changement ? Où est passé la Yéménite Tawakkul  Karman l’activiste des droits de l’homme a qui le prix Nobel de la paix 2011, lui a été décerné pour avoir mené le « Printemps Arabe» au Yémen ?  En somme, contrairement à la démocratie et à la paix espérés par les partisans du « printemps Arabe», c’est un véritable « tsunami » qui s’abat sur ce pays et ce n’est pas encore fini.
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19 mai 2012 6 19 /05 /mai /2012 23:12
S’engager en politique à Khenchela n’est pas une chose facile pour la femme dans une région qui garde toujours son cachet tribal. Pourtant, des milliers de femmes pleines d’ambitions attendent qu’on leur donne leur chance pour exercer leur talent.
kahina.jpg
Photo :  Ce n’est pas nouveau, la femme berbère a l’image d’El-Kahina a toujours relevé le défi.
C’est le cas de Mlle Bouzidi Loubna, 32 ans, et Kanana Assia, 27 ans, qUi ont été élues récemment haut la main dans leurs nouvelles fonctions de "député" dans la circonscription de Khenchela. Etant la plus jeune des femmes du nouveau parlement, Assia Kanana aura le privilège de diriger à titre symbolique la première séance de l’Assemblée nationale populaire. Sur les cinq sièges réservés à la wilaya de Khenchela, deux ont été remportés par des femmes. Bouzidi Loubna et Kanana Assia rejoindront aujourd’hui l’hémicycle pour représenter la wilaya de Khenchela et surtout la femme chaouie au Parlement. Avocate de son état, Mlle Bouzidi a réussi à gagner la confiance des électeurs de la wilaya de Khenchela, grâce à son sérieux et sa lucidité dans le travail. Durant la campagne électorale, cette jeune femme pleine d’espérance est parvenue à séduire les habitants du chef-lieu de wilaya et surtout les citoyens des zones rurales. «L’accueil qui m’a été réservé par les citoyens dans l’ensemble des communes de la wilaya de Khenchela m’a beaucoup touchée. C’est pour ces raisons que je ne ménagerais aucun effort pour répondre à leurs attentes», a indiqué Mlle Bouzidi. Disposant d’une longue expérience en politique, la nouvelle députée nous a expliqué qu’elle mettrait à contribution tout son savoir-faire pour donner à la région un nouvel élan. «La pauvreté, le chômage, le logement, la santé, le transport et les jeunes sont les priorités des habitants de la wilaya de Khenchela et je suis consciente de la lourde tâche qui m’attend», a-t-elle déclaré. «Je rends un vibrant hommage au président de la République qui grâce à lui, la femme a retrouvé sa place dans la société algérienne», a indiqué Mlle Bouzidi. Elle n’a pas manqué également de saisir l’occasion pour remercier les autorités locales et surtout le wali de Khenchela pour avoir réussi à organiser et en toute transparence les élections législatives. Mlle Bouzidi a ajouté qu’elle s’engagera à fond durant son mandat pour répondre aux attentes des habitants de la wilaya de Khenchela et être digne de la confiance placée en elle.
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