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22 décembre 2018 6 22 /12 /décembre /2018 19:09

LES GRAVES MENACES D'UN GILET JAUNE SUR BFMTV :

"J’ESPÈRE QUE M. ERIC DROUET SERA LIBÉRÉ CAR JE NE VEUX PAS VOIR LA FRANCE SE TRANSFORMER A FEU ET A SANG.
PHOTO ARCHIVE : HAYK SHAHINAN EN GILET JAUNE LORS DE SON PASSAGE SUR BFMTV

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20 décembre 2018 4 20 /12 /décembre /2018 18:36

Cliquez sur le lien ou mettez "Copier-Coller" pour lire l'article en PDF sur le journal "La Nouvelle République" du 20 Décembre 2018 Page 06 http://www.lnr-dz.com/pdf/journal/journal_du_2018-12-20/lnr.pdf

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11 décembre 2018 2 11 /12 /décembre /2018 22:57

A quelques jours de la fête de fin d'année, des milliers dans le monde attendent impatiemment pour fêter Noël et la Saint Sylvestre. Au même moment des "Bombes humaines" et des criminels se préparent également mais pour transformer ces fêtes en Tragédie et en Deuil.

Dans les différents pays du monde, les citoyens ont commencé à décorer les places, avenues, rues et ruelles. Dans chaque habitation, des sapins illuminent les vies, donnant du bonheur à toutes et à tous. En ces même moments de joie, des individus endoctrinés activent dans les quatre coins du monde pour transformer la joie en Deuil. Aveuglés par l’ignorance, la haine et par l’obscurantisme, ils profitent de ces moments de fêtes pour faire le plus grand nombre de victimes. L’Alerte est au rouge, il faudrait être vigilant afin de parer à toutes éventualités. Signalez aux forces de sécurité n'importe quel colis, véhicule ou individus suspect.

 

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2 novembre 2018 5 02 /11 /novembre /2018 16:23

Un citoyen rentre dans un établissement situé au coin du quartier "Faubourg Saint Jean" au Puy en Velay dans la haute Loire 43000. Il demande à une dame qu'il voudrait scanner une feuille sur sa boite Email. Avant que la dame ne lui scane le document, il demande le prix de cette opération. La dame lui répond : 1 Euros le document Monsieur.

Ce dernier répondit à la dame que le scanne est une photocopie et que le prix d'une photocopie ne dépasse par en principe les 15 centimes. La dame lui réponda que c'est le prix de l'établissement et qu'elle ne pourrait rien faire d'autre. Le Monsieur demanda à son interlocutrice de lui faire montrer l'affiche des prix des prestations. La dame montra du doigt le tableau ou le prix du scane est affiché à 50 Centimes. "Tiens, c'est 50 centimes et n'ont pas 1 euros" indiqua le citoyen. La dame répondit : "Oui Monsieur , 50 centimes le scane et 50 centimes pour vous l'envoyer sur votre boite Email, cela fait 1 Euros". Le citoyen a tenté de faire comprendre à la dame que l'opération scane n'a pas de valeur si toutefois, le document ne sera pas envoyé sur une boite Email. Ne trouvant pas d'autres réponses, la dame accepta de scanner le document à 50 centimes mais elle lui demanda d'aller chercher une clé USB. Le Citoyen répondit : Mais Madame, vous l'envoyer sur une boite Email ou sur une clé, c'est la même chose. Monsieur, je n'ai rien à vous ajouter ...... Le citoyen demanda à la dame d'appeler le responable de l'établissement, elle lui répondit : C'est moi le responsable. Le Monsieur reprend seon document et qui quitta le magasin.           

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20 septembre 2018 4 20 /09 /septembre /2018 19:47
L'investiture du président malien, Ibrahim Boubacar Keïta est prévue ce samedi 22 Septembre 2018 à Bamako. Plusieurs chefs d'état et de gouvernement prendront part à cet événement. Les criminels islamistes pourraient profiter de cet état de fait pour frapper le lieu ou se déroule la cérémonie ou une autre cible, notamment les institutions de l'état ou les représentations diplomatiques. Les autorités Maliennes doivent renforcer la sécurité afin de parer à toute éventualité.
 
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    13 juillet 2018 5 13 /07 /juillet /2018 09:29

    Le terroriste Djamel Beghal sortira de prison le 16 Juillet 2018 dans deux jours et ce après avoir purgé une peine de 10 ans de prison ferme en France. …


    La France a pris la décision d'exporter la "Bombe" vers l'Algérie car sa présence sur le sol de l'Hexagone inquiète énormément les Français. Pour rappel, l'Algérie a refusé l'extradition de la dépouille de Mohamed Merah en Algérie pour y être enterré. La question qui mérite d'être posée aujourd'hui est la suivante : L'Algérie acceptera-t-elle de recevoir un "Terroriste-Vivant" ? Si la réponse sera par l'affirmative, le terroriste pourrait reprendre ses activité en milieu urbain et ce même s'il sera mis sous surveillance. Une autre hypothèse, il choisira de quitter l'Algérie clandestinement pour rejoindre les groupes armés en Tunisie, Libye ou en Syrie. Il pourrait même rejoindre l'Europe avec les "Haragas" et revenir en France.

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      3 juin 2018 7 03 /06 /juin /2018 00:12

      a ligue indépendante des droits de l'homme a indiqué que des agents de sécurité en tenue civile ont procédé à l’arrestation du journaliste Said Boudour alors qu'il s'apprêtait à rentrer chez lui.

      Selon le communiqué de la ligue de la défense des Droit de l’Homme (LADDH) d’Oran. le journaliste a été conduit vers une destination inconnue. L'avocat Salah Dabbouz à dénoncer ce qu’il qualifie d’ "enlèvement", faisant même le parallèle avec l’affaire de la saisie d’une forte quantité de cocaïne (701kg) au port d’Oran. L’avocat explique que le journaliste Said Boudour est le premier journaliste à avoir écrit sur cette affaire s’interrogeant s’il y avait une relation de cause à effet a indiqué la presse locale. Au moins six agents ont participé à l'arrestation du journaliste avant qu'il ne soit embarqué dans une véhicule banalisé de type Ford grise», selon Maître Dabbouz citant le bureau de la LADDH d’Oran. Certaines informations ont fait savoir que le journaliste Said Boudour aurait été arrêté en compagnie de Nourredine Tounsi, un lanceur d’alerte qui travaille au port d’Oran

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      26 mai 2018 6 26 /05 /mai /2018 15:08

      Les services de police ont arrêté un jeune de 30 ans pour avoir fumé une cigarette au mois du ramadan. Poursuivis pour atteinte et offense aux préceptes de l'islam et aux morales des Musulmans, il a été présenté au tribunal en comparution immédiate. Le procureur de la république a req uis à son encontre deux ans de prison ferme. Il fut condamné finalement à une année de prison ferme par le président du tribunal.

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        26 mai 2018 6 26 /05 /mai /2018 01:53

        Triste fut le jour du 26 Mai 1993, date de l’exécution de Tahar Djaout,  le premier journaliste qui a été visé par des criminels sur une série de plus de 103 membres de la corporation.    

         

         

        Qui ne connait pas la célébrai citation : «Si tu parles, tu meurs. Si tu tais tu meurs. Alors, dis et meurs». C’est exact, l’auteur n’est autre que feu Tahar Djaout le premier journaliste assassiné au cours de la décennie noire. Tahar Djaout a créé ce dicton pour lui-même et l’avait appliqué à la lettre. C’est aussi un message à ses collègues et ses confrères qui avaient également décidé de parler et de mourir. Ce dicton a donné du courage aux journalistes qui ont refusé d’abdiquer aux menaces des hordes sauvages. Le message de Tahar Djaout a donné également à réfléchir aux citoyens qui ont été encouragé de dire «Non » avec un grand «N» à l’intégrisme et à la barbarie. Tahar Djaout était responsable de 1980 à 1984 de la rubrique culturelle d’Algérie actualité. Il a publié plusieurs articles sur des artistes dont nous pouvons citer Baya, Mohammed Khadda, Denis Martinez, Hamid Tibouchi, Mohamed Demagh. Tahar Djaout a fondé  son propre hebdomadaire  «Ruptures», dont il est le directeur, paraît le 16 janvier 1993. En 1985, Tahar Djaout reçoit une bourse pour poursuivre en France des études en sciences de l’information  et s'installe avec sa femme et ses filles à Paris. Deux ans plus tard, il retourné à Alger et reprend ses activité avec Algérie-Actualité. A l’époque, Tahar Djaout n’avait que sa plume pour faire face à l’épée, couteaux, Kalachnikov et les bombes des « Daachistes» du front islamique du salut. C’est le même cas pour les journalistes et collaborateurs de presse qui étaient l’une des cibles privilégiés des groupes armés après les forces de sécurité.

        Les intimidations, les menaces et les assassinats  n’ont jamais fait plier les défenseurs de la liberté d’expression.

        Pour les journalistes, il n’est pas question de se taire alors que l’Algérie était sur le point de basculer d’une République démocratique à une «Dawla Islamiya», République théocratique.   C’est une grande lâcheté de garder la neutralité alors que les forces de sécurité, artistes, médecins, enseignants, sportifs et des simples citoyens se font égorger par les hordes sauvages. Prenant leur courage entre les deux mains, les journalistes Algériens ont suivi à la lettre le dicton de Tahar Djaout qui a dit à l’époque : «Le silence, c'est la mort, et toi, si tu te tais, tu meurs. Et si tu parles, tu meurs. Alors dis et meurs.». Hommes et femmes de la presse écrite, parlée ou de l’audiovisuel, les journalistes ont tous juré de parler et de mourir en héros pour permettre à l’Algérie de rester debout. La réplique des sanguinaires envers les journalistes a été des plus barbares. Les groupes armés n’ont pas fait de différence entre un journaliste de sexe masculin ou féminin, d’un Francophone  ou arabophone. Les sanguinaires avaient pour objectif d’anéantir les « témoins » pour camoufler leurs méfaits et pour dissimuler les massacres et les carnages dont le peuple fait l’objet. Le mot d’ordre a été donné aux groupes terroristes de faire taire les radios, de noircir les écrans et d’immobiliser les plumes. C’est une véritable chasse à l’homme que les journalistes ont fait l’objet de la part des sanguinaires. Appliquant les directives de leurs émirs et responsables, les groupes terroristes ont multiplié les enlèvements, les assassinats individuels et collectifs.

        Les «Daachistes» d’aujourd’hui, s’appelaient «GIA, GSPC, AIS, FIDA, Al-Qaida, Aqmi» etc.

        Comme nous l’avons souvent donné dans nos précédentes éditions, si les appellations changent, les groupes armés partagent la même idéologie et la même barbarie. Tahar Djaout était la première victime des «Daachistes» du Front islamique du Salut.  Alors qu’il quittait son domicile Tahar Djaout située dans une cité populaire dans la banlieue d’Alger, le 26 Mai 1993, il ne savait pas qu’il allait quitter ce monde. Installé au volant de son véhicule, Tahar Djaout se fait abattu à bout portant par deux balles dans la tête tirées par les criminels. Ils jetèrent le corps de la victime sur le sol avant de disparaitre avec le véhicule. Evacué vers l'hôpital de Baïnem, Tahar Djaout rendra l'âme une semaine plus tard.  Sur les écrans de l’ENTV, le chauffeur du commando avoua le meurtre. Il a affirmé que l’ordre d’éliminer Tahar Djaout venait d’un ‘‘émir du GIA’’, le fameux tôlier, et qu’une ‘’fetwa’’ avait été lancée contre le journaliste, car « il était communiste et avait une plume redoutable qui influençait les musulmans». Ce dernier donna également quatre noms de ses  complices dont un marchand de bonbons. Le chauffeur  reviendra sur ses aveux quelques mois après devant le tribunal d’exception d’Alger qui le blanchira ainsi que le ‘’tôlier’’ de ce crime, mais les condamnera pour d’autres actes terroristes. Il ne sera ni le premier assassinat, ni la 100éme victime et ni les attentats à l’explosif n’ont fait abdiqués les courageux journalistes. Bien au contraire, cette barbarie a donné du courage à la famille de la presse qui a levé la voix pour dire haut et fort : Non à l’intégrisme. Non à un état théocratique. Vive l’Algérie libre et démocratique. C’est grâce à ces journalistes et aux sacrifices des milliers d’hommes et femmes intègres que l’Algérie est restée debout alors qu’elle était déjà donnée pour morte et enterrée par nos «frères » et ennemis. A toutes et à tous, nous leurs rendons hommages et nous leurs dirons : Reposez en paix, vous avez écrit vos noms en lettre d’or.

        Moncef Redha

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        21 mai 2018 1 21 /05 /mai /2018 23:58

        Comme nous l'avons donné précédemment, le double crime de de la commune de "Oued Sbaa" a été perpétré par un groupe armé islamiste. C'est le fils de l'imam-volontaire qui a découvert les cadavres de son père et de l'ex-garde communal décapités.

        Ce dernier qui n'a pas entendu l'appel à la prière "Adhan El Fadjr" que son père était chargé de le faire a décidé de se rendre au niveau de la mosquée. Le malheureux fils découvre l'horreur : La tête de son père a été accrochée par les criminels sur un poteau à l'entrée de la mosquée. Sur la Photo : Le lieu servant de mosquée ou les deux personnes ont été assassinés par les hordes sauvages islamistes à Oued Sbaa, wilaya de Sidi Bel Abbes.

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