Photo : Sakineh Mohammadi
« Le verdict est définitif et applicable. Mais il a été interrompu en raison de considérations humanitaires et sur ordre du chef du pouvoir judiciaire », a déclaré un responsable Iranien. Seul, l’Ayatollah Ali Khamenei, le guide suprême iranien qui peut sauver la jeune femme d’être assassinée. Dans le cas où le chef suprême confirme la lapidation, la femme sera enterrée jusqu’à la poitrine avec les mains également enterrées et sera massacrée à coups de pierre. Depuis Le coup d’état de 1979, des milliers d’Iraniens ont été exécutés. Imaginons que cette femme a « péchée », de quel droit ces dits responsables lui ôtent la vie ? A moins que ces derniers aient été mandatés par le Bon Dieu, cela reste à prouver. Pour l’instant, l’exécution de ces personnes ne sont que des assassinats et des crimes dans le sens propre du mot.
Abderrahmane Hakkar