Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
8 juin 2011 3 08 /06 /juin /2011 12:30

Malgré les diverses humiliations, il semble que les dirigeants de l’équipe nationale Algérienne ne sont pas  encore prêts d’abandonner le « bricolage»dont ils se sont habitués. 

 

  ait-djoudi.jpgmadjer.jpgronar.jpg

 

 

 

 

 

 

   

Photo : Ait Djoudi, Rabah Madjer et Hervé Renard

 

A la place d’un entraineur étranger de grosse pointure, les dirigeants de la balle ronde ont avancé plusieurs noms de «coach» susceptibles de remplacer Abdelhak Benchikha. Cet état de fait est un « ballon d’essaie » de façon à tester la réaction des médias locaux et des supporters. Les discutions tournent pour l’instant autour de Rabah Madjer, Hervé Renard et Azzedine Aït Djoudi. On ne sait pas sur quel critère se sont basés les responsables de la FAF, pour choisir ces entraîneurs. Avec mes respects à ces techniciens sportifs et sans erreur de ma part, aucun d’entre-deux n’a gagné un titre international avec une équipe nationale dans le monde. Personne ne peut dire que Rabah Madjer n’était pas un grand joueur. Malheureusement, le fait d’être un grand joueur, ne veut pas dire qu’il pourrait exercer en qualité d’entraîneur. Hervé Renard a montré ses limites avec l’équipe de la Zambie et actuellement au sein de l’USMAlger. Comment voulez vous que ce sélectionneur puisse réussir à la tête de l’équipe nationale Algérienne ? Si certaines personnes font l’éloge à ces trois entraineurs, elles seront les premiers à tirer sur eux à boulets rouges au moment de l’échec. Aucune personne de ses individus n’aurait le courage de reconnaitre ses erreurs et d’assumer ses responsabilités. La preuve : l’ensemble des doigts sont pointés aujourd’hui en direction de Bencheikha. A qui le tour ?

   

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0

commentaires