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1 août 2011 1 01 /08 /août /2011 23:09
Affaiblis par des mois de sécheresse qui ont répandu la famine dans leur pays, des milliers d’africains ont entamé le mois de jeûne du ramadan. À cause de la famine, des Somaliens et des milliers de Musulmans dans plusieurs pays n’ont rien à manger. Observer le jeûne alors qu’ils n’ont rien à manger, c’est un véritable suicide dans le sens propre du mot.  

famine.jpg

 

En cette période de chaleur, les Musulmans qui vivent dans le luxe que se soit en occident où dans les pays du Golf, trouvent d’énormes difficultés à jeûner. Quelle sera alors la situation de ces malheureuses personnes qui souffrent pour trouver un morceau de pain pour la journée ?  Qu’attendent les « pétrodollars », les Roi et les dirigeants des pays Musulmans pour venir en aide à ces malheureux ? Ne peuvent-ils pas réserver quelques «miettes » de ces milliards dépensés dans le financement  des guerres et pour s’offrir des « nanas » dans les grands palaces du monde ? A défaut, les Oulémas et les religieux Musulmans peuvent décréter une « Fatwa » permettant à ces pauvres de se dispenser du jeûne ?
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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 22:24
Des groupes armés ont attaqué tôt le matin les insurgés dans la ville de Benghazi, bastion de la rébellion Libyenne. Dix « révolutionnaires» ont trouvé la mort dans cette attaque alors que plusieurs autres ont été grièvement blessés.  
Le conseil national de transition a imputé cette attaque au pro-Kadhafi qui selon eux ont réussi à s’introduire à Benghazi. Trente éléments des assaillants ont été capturés selon, le porte parole du CNT. Le groupe à l’origine de l’attaque est estimé à environ 300 éléments par le CNT a réussi à prendre la fuite. Selon des sources proche du conseil de transition, le groupe à l’origine de cette attaque est dénommé « brigade Anidaa». De différents types d’armes de guerre dont des lances roquettes et des mitrailleuses ont été utilisé dan l’attaque par le groupe armé, indiqué Mohamed Chemam, vice Président du CNT. Selon la télévision d’état Libyenne, le groupe à l’origine de cette attaque est liée bataillon «Assaïka», des commandos militaires qui auparavant ont choisi le camp des insurgés. Des prisonniers ont été libérés par les éléments du bataillon, a ajouté la télévision d’état. La chaine Al-jazzera a indiqué que de violent combat ont opposé les insurgés et des hommes armés pro-Kadhafi . Al-jazzera a ajouté que des groupes armés appartenant à la tribu « Al-Warthali », liés au Colonel Kadhafi, sont à l’origine de cette attaque. La tribu « Al-Warthali » est l’une des plus grandes tribu en Libye. Le conseil national de transition a pris la décision de dissoudre les  factions armés à Benghazi, les invitant soit à rejoindre les « révolutionnaires » au front où de déposer les armes. Après l’assassinat  du général Abdel Fatah, la situation sécuritaire s’est dégradée à Benghazi, ont indiqué plusieurs reporters de presse, sur place.
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31 juillet 2011 7 31 /07 /juillet /2011 21:24
L’assassinat du général Younes Abdel Fatah par des éléments d’Al-Qaïda à Benghazi se confirme de plus en plus. Selon, les reporters internationaux, le conseil national de Transition savait bel et bien qu’Abdel-Fatah a été bel et bien assassiné par des éléments d’Al-Qaïda, activant dans les rangs des « insurgés». 

al quaida en libye.jpg

                                                                Des correspondants de presse à Benghazi ont indiqué que la main d’Al-Qaïda dans l’assassinat du chef militaire de la rébellion est tout à fait plausible. Le correspondant du Delay télégraphe a indiqué que des groupes Islamistes appartenant à la nébuleuse d’Al-Qaïda, activent à l’Est et à l’Ouest de la Libye sous la bannière des « révolutionnaires». Selon Delay Télégraphe, le général a été interpellé à «Ajdabya» et fut ramené à Benghazi avant qu’il ne soit assassiné par les éléments d’Al-Qaïda à Benghazi. Les islamistes d’Al-Qaïda, dirigeaient par Abou-Obeïda, contrôlaient pratiquement la quasi-totalité du territoire Libyen à l’Est et à l’Ouest du pays, ont indiqué des reporters occidentaux. Auparavant se sont les éléments de brigade des martyrs du 17 février que les doigts accusateurs se sont pointés. Ces 48H, les accusations se sont orientés vers Al-Qaïda et son émir «Abou Obeïda Al-Jarah ». Selon les dernières informations le Président du Conseil de transition Mustapha Abel-Jalil a été contraint par Abou Obeida, de convoquer Abdel-Fatah avant son assassinat. Le corps du général était criblé de balles, son cou tranché et ses membres brulés, ont indiqué des proches du général. Selon une source proche du CNT, un des membres de la « Brigade Abou Obeida Al-Jarah » a accusé le général Abdel Fatah Younes d’avoir assassiné son père à Derna. La ville de Derna est dirigée actuellement par un certain Abdelkrim Al-Hassadi,  un islamiste d’Al Qaïda ancien prisonnier de Guantanamo. Selon Yousef Chakir, un proche de Kadhafi, des insurgés auraient vendus aux éléments d’Al-Qaïda  l’ensemble des armes parachutés par l’armée Française. Si ces informations se confirment, c’est un « Irak Bis » qui se dessine en Libye et dont les conséquences seront graves, très grave même
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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 21:08
Le Ministre de l’énergie Libyen dans l’opposition Libyenne a déclaré que le général Abdel Fatah Younes a été convoqué à Benghazi pour interrogatoire et a été assassiné par balles, selon la télévision Al Arabiya.   436x328_29895_160040.jpg
Les corps du général et de deux officiers dans l’opposition ont été jetés sur la route en dehors de la ville, selon le Ministre. Le régime de Kadhafi et par la voix de Moussa Ibrahim a imputé l’assassinat du général Younes  à « Al-Qaïda » à Benghazi. Le général Younes ne s’attendait jamais pas à se qu’il soit tué par les siens mais il fut victime d’une trahison. Un certain proverbe disait : " Dieu protège de mes amis, mes ennemis je m’en charge".
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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 20:00
L'OTAN a bombardé dans la nuit de vendredi à samedi plusieurs installations de la télévision publique libyenne à Tripoli. Ces tirs visaient à "réduire le colonel Kadhafi au silence". Selon Tripoli, elles ont fait trois morts et 15 blessés.  

la télévision libyenne bombardée.jpg

L'OTAN a confirmé les frappes aériennes qui ont mis hors service trois centres émetteurs satellitaires de la télévision libyenne à Tripoli.  "Notre intervention était nécessaire car la télévision est utilisée par le régime pour opprimer les populations civiles. Kadhafi se sert de ses interventions télévisées pour installer la haine entre les Libyens et mobiliser ses partisans", a-t-elle ajouté. La chaîne de télévision Al-Jamahiriya, diffusant en langue anglaise, a de son côté affirmé que son siège à Tripoli avait été bombardé et que trois employés avaient été tués et quinze autres blessés "durant l'exercice de leur devoir professionnel en tant que journalistes libyens". Le directeur de la chaîne, Khaled Bazilia, a dénoncé un "acte de terrorisme international" en violation des résolutions du Conseil de sécurité de l'ONU. "Nous sommes des employés de la télévision officielle libyenne. Nous ne sommes pas une cible militaire, nous ne sommes pas des commandants de l'armée et nous ne constituons pas une menace pour les civils", a-t-il affirmé. La télévision libyenne continuait d'émettre samedi matin, ont constaté des  journalistes. Imaginez un peu si une autre station de télévision en occident a été attaquée ??
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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 18:25
Dans son discours du trône prononcé hier Samedi, le roi Mohammed VI du Maroc s'est prononcé pour la réouverture des frontières terrestres avec l'Algérie, fermées depuis 1994. A ce même sujet, le Roi a ajouté qu’il souhaitait une normalisation totale des relations avec l’Algérie.
"Nous tenons à l'amorce d'une nouvelle dynamique ouverte sur le règlement de tous les problèmes en suspens, en prélude à une normalisation totale des relations bilatérales (...) y compris la réouverture des frontières terrestres", a indiqué Mohammed VI. Pour rappel, l’Algérie a décidé de fermer ses frontières avec le Maroc en 1994, en réplique aux accusations portées contre l’Algérie par le régime Marocain à la suite des attentats qui secoué Marrakech au mois d’Aout 1994. Cet attentat a visé l’hôtel Asni lors duquel des touristes étrangers ont été tués. Les Marocains ont aussitôt accusé les éléments de l’ex DRS, (direction des services de renseignements algériens d’être à l’origine des cet attentat. Par la suite le gouvernement Marocain, a exigé des visas pour les ressortissants Algériens désirant se rendre au Maroc. Cet état de fait à contraint l’Algérie de fermer carrément les frontières avec le Maroc. Un mois après, il s’est avéré que l’Algérie a été accusée à tort car les forces de sécurité ont réussi à mettre la main sur des islamistes Marocains, auteurs de cet attentat. Depuis, le Maroc prône pour la réouverture des frontières avec l’Algérie. Les autorités Algériennes se sont prononcées à plusieurs reprises à  ce sujet mais ne semblent pas encore disposées à le faire. Interrogés à ce sujet aux rumeurs faisant état d’une éventuelle réouverture des frontières avec le Maroc, Monsieur Ahmed Ouhayia, a répondu que cet état de fait n’est pas pour l’instant à l’ordre du jour. Le Premier Ministre Algérien a accusé le régime Marocain de vouloir impliquer l’Algérie dans le conflit libyen. «  Ces derniers temps on observe (…) des déclarations de l’agence officielle marocaine et une agitation du lobby officiel marocain aux États-Unis pour vouloir impliquer l’Algérie dans l’envoi de mercenaires en Libye, dans l’envoi d’armes en Libye. Ce genre de choses ne sont pas des facteurs qui aident à l’ouverture de la frontière. En tout état de cause l’ouverture de la frontière n’est pas à l’ordre du jour » a-t-il conclu
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30 juillet 2011 6 30 /07 /juillet /2011 15:02

Grace à notre « Radar » Nous étions les premiers à envisager en Egypte un scénario similaire à celui de l’Algérie en 1988. En cette phase, nous avons clairement dit « Se trompent énormément ceux qui croient que les « révolutions » dans les pays arabes permettent à l’instauration de la démocratie dans ces pays. Bien au contraire, se sont les Islamistes qui vont en profiter».   

 

islamistes egyptiens 2.jpg

 

En effet, comme fut le cas en Algérie dans les années 1988, les Islamistes s’adjugent la «révolution» en Egypte par laquelle le Président Moubarak a été contraint de démissionner. Hier vendredi, les frères Musulmans et les « Salafistes » ont tiré le tapis sous les pieds des partis politiques et des formations Laïcs, réclamant à haute voix l’instauration d’un état Islamique en Egypte. Au niveau de la place de «Tahrir», les anciennes formules de contestation des «révolutionnaires» ont été remplacées par des nouveaux slogans  Islamistes. « Il n’y a pas d’autres Dieu qu’Allah. Egypte islamique. Le Coran à la place de la Constitution ». Nous avons donnés ici quelques chants scandaient par la foule. Rendus minoritaires les Laïcs et les démocrates ont été contraints de quitter la place de «Tahrir» transformée en un véritable fief Islamiste. Dans le Sinaï, un commissariat de police a été attaqué par un groupe d’Islamiste armé. Un officier de police et trois civils ont été assassinés par balles au cours de l’accrochage qui a duré plusieurs heures. Selon une source sécuritaire, des  dizaines d’islamistes armés ont parcouru à bord de 20 véhicules et des motocyclettes, les artères de la ville de brandissant des drapeaux portant des slogans islamistes. Ils ont commencé a tiré en l’air terrorisant la population  avant qu’ils ne détruisent une statue de l'ancien président Anouar al-Sadate a un indiqué un membre des services de sécurité. Quelques instants après, ils ont attaqué un commissariat de police avant d'engager une fusillade avec des policiers et des militaires qui a duré plus de 9H. Selon des sources hospitalières, un officier de l'armée a trouvé la mort, un civil âgé de 70 ans, une jeune fille de 18 ans et un adolescent de 13 ans, pris entre les tirs croisés, ont été tués dans la fusillade. La source a ajouté que quatre officiers de l'armée, neuf gardes de la sécurité et six civils ont été blessés et ont été hospitalisés. Les forces de sécurité ont interpellés 12 suspects après l’accrochage. Pour l’instant, la place «Tahrir » au Caire est sous le contrôle des Islamistes qui réclament l’instauration de la loi Islamique en Egypte.

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28 juillet 2011 4 28 /07 /juillet /2011 23:35

Le Président du conseil de transition a officiellement annoncé la mort de Abdelfattah Younes, chef militaire de la rébellion Libyenne. Abdelfattah Younes a été donné pour mort le Mercredi 27 Juillet mais le conseil a démenti l’information. Dans la matinée du jeudi 28 Juillet, le CNT a indiqué que le chef militaire a été rappelé du front afin qu’il soit interrogé par quatre juges mais sans donner de précision. En fin de soirée de ce jeudi, le Président du conseil de transition a tenu une conférence de presse à travers laquelle il a annoncé la mort du chef militaire en compagnie de deux autres hauts officiers.

abdelfatah younes.jpg 2.jpg Photo : Le chef militaire Abdelfattah Younes

Ces derniers jours, le chef militaire est soupçonné d’avoir mené des discussions secrètes avec le gouvernement de Mouammar Kadhafi. Une source rebelle a dit qu'Abdel Younes avait été rappelé jeudi matin de Brega, mais sans pouvoir en indiquer la raison. Un responsable du Conseil national de transition (CNT) a confirmé qu'Abdel Younes se trouvait à Benghazi, mais en ajoutant qu'il était revenu du front en se disant insatisfait de la situation sur le terrain et que des responsables tentaient de le persuader d'y retourner. Le domicile d'Abdel Younes à Benghazi était gardé jeudi par des soldats qui bloquaient la rue et ne laissaient passer personne, selon des témoins. Vers 22H15, du jeudi, Mustapha Abdeljalil a surpris tout le monde en annonçant la mort du chef militaire. Dans son allocution, le Président du CNT A accusé le pouvoir dirigé par Kadhafi d’être à l’origine de la mort de Abdelfattah Younes. Le Président du CNT a également affirmé qu’il ne savait pas ou se trouvaient les corps du chef militaire et des officiers tués en sa compagnie. Si la zone d’ombre entoure la mort du chef militaire, l’assassinat du chef rebelle par les siens est tout à fait plausible. Selon des sources dignes de foi, une fusillade a éclaté à Benghazi vers 22h 45 au moment où le Président du CNT quittait l’hôtel, lieu où s’est tenue la conférence de presse. Aucune autre information n’a été donnée sur cette fusillade.

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26 juillet 2011 2 26 /07 /juillet /2011 11:45
Accusé d’avoir collaboré avec les français pendant la guerre d’Algérie, un Algérien de 76 ans a été refoulé de l’Aéroport d’Annaba. A son retour, son passeport lui a été confisqué par les fonctionnaires du Consulat d’Algérie de Pantoise où il s’est rendu pour des explications. « Vous avez travaillé avec la France », lui aurait murmuré un fonctionnaire au niveau de la représentation diplomatique. Le sexagénaire nie les faits qui lui sont reprochés et promet d’allez jusqu’au bout. L’avocat du mis en cause s’insurge,  indiquant que la guerre est finie il  y  a 50 ans.  
En effet, l’affaire remonte au 22 mai dernier, lorsque le couple se présente à l’aéroport d’Annaba en provenance de Paris. Il devrait passer quelques jours de vacances avec ses deux enfants qui vivaient en Algérie. Selon, les déclarations du couple, Monsieur Maamar s’est vu interdit l’entrée sur le territoire Algérien. L’épouse quant à elle a été autorisée d’entrée mais a refusé de le faire en raison du refoulement de son époux. Toujours est selon les déclarations des époux,  aucune explication ne leur a été fournie au niveau de l’aéroport pour cette interdiction dont a fait l’objet le mari. « Nous vivons depuis 1963 en France, nous avons fait le déplacement en Algérie en 1971 sans aucun problème » a indiqué le couple à la presse. Selon les déclarations de Monsieur Mammar, il n’y avait pas d’avion pour retourner en France le jour même, ils étaient contraints de dormir sur une banquette à l’aéroport jusqu’au lendemain. sous étroite surveillance des policiers. « Sur ordre des policiers, nous avons dû acheter un nouveau billet pour rentrer en France, alors que nous avions déjà un billet aller-retour », a raconté la dame de Monsieur Ben Larbi. Cette dernière a ajouté à la presse, je cite : Nous avons été traités avec violence et peu d’humanité ». Contactés par nos soins, la police Algérienne et par la voix de l’officier chargée de la communication à Annaba a  apporté un démenti catégorique à la version du couple. « C’est archi-faux, notre professionnalisme et notre éducation ne nous permettent en aucun cas de maltraiter des personnes que ce soit Algérienne où autre. Bien au contraire, nous sommes au service des citoyens et notre devoir est de les protéger» a-t-elle ajoutée. De retour en France, le couple s’est rendu au niveau du consulat d’Algérie à Pantoise pour connaitre les motifs ayant trait à cette histoire d’interdiction de séjour. Selon le couple  aucune réponse ne leur a été donnée mais un fonctionnaire aurait laissé entendre au bout de ses lèvres que Monsieur Mammar  aurait travaillé pour la France. Ce qui est grave explique le plaignant  est que le fonctionnaire du consulat lui a confisqué son passeport, a-t-il ajouté. « Je n’ai jamais travaillé pour la France » a déclaré, le sexagénaire. L’avocat du couple a fait savoir à la presse ce qui suit : « A supposer qu’il ait été harki, la guerre d’Algérie est finie depuis longtemps. Je vais déposer une communication, soit l’équivalent d’une plainte, pour violation de l’article 12 qui précise que « nul ne peut être arbitrairement privé du droit d’entrer dans son propre pays ». Nous avons appris également que l’ambassadeur d’Algérie en France, a été saisi sur cette affaire.
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23 juillet 2011 6 23 /07 /juillet /2011 22:42
Au moins sept puissantes explosions ont secoué le centre de la capitale libyenne dans la nuit de vendredi à samedi. Trois détonations ont retenti vers 02H20 (00H20 GMT), avant d'être suivies d'autres quelques minutes après. Les explosions ont secoué le secteur de la résidence du dirigeant libyen Mouammar Kadhafi au centre de Tripoli, qui avait été déjà la cible de dizaines de raids de l'Otan depuis le début de l'opération militaire internationale en Libye.  

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 Photo : c’est la énième fois que la résidence du colonel Kadhafi est prise pour cible.
La télévision libyenne, qui citait une source militaire, a indiqué que l'Alliance atlantique bombarde actuellement des sites civils dans la capitale Tripoli. Il y a trois mois, lors d’un  raid,  Le fils du dirigeant libyen Seïf al-Arab (29 ans), son petit-fils Seïf (2 ans), fils de Mohammad Kadhafi, sa petite-fille Carthage (2 ans), fille de Hanibal, et une autre petite fille, Mastoura (4 mois), fille de Aïcha Kadhafi  , ainsi que leurs amis et voisins ont été tous tués dans un quartier de tripoli .Sergueï Lavrov, le chef de la diplomatie Russe a estimé que les actions de l'Otan en Libye "outrepassent le mandat" issu de la résolution 1973 du Conseil de sécurité des Nations unies. Il appelle à un règlement "diplomatique" de la crise libyenne. "Aujourd'hui, nous assistons à des actions qui dans un certain nombre de cas outrepassent le mandat du Conseil de sécurité des Nations unies" tel qu'énoncé dans la résolution 1973 ? a-t-il ajouté. La Russie soutient l'initiative de l'Union africaine  dénonçant "un usage excessif de la force militaire qui conduirait à des pertes supplémentaires chez les civils. Le président russe Dimitri Medvedev s'était déjà élevé contre les opérations de l'Otan en Libye en ces termes: "Qu’avons-nous comme résultat. Nous avons essentiellement une opération militaire. Le texte voté le 17 mars indique la protection des civils mais non pas le bombardement des civils où de tuer Kadhafi, ont indiqué des responsables Russes, Sud Africains et Chinois. De son côté, l’Union africaine a exhorté l’Otan a cesser les bombardements pour permettre aux deux parties en conflit d’ouvrir un dialogue politique. Malgré les diverses mises en garde, l’Otan continue de bombarder les villes Libyennes dont les populations soutiennent le colonel Kadhafi. Les bombardements visaient particulièrement « Bab Laziziya» principale résidence du Président libyen. L’Otan est accusée non seulement de vouloir tuer Mouammar Kadhafi mais également de crime de guerre et ce même par les extrêmes droite du monde à l’image du Front National, parti radical Français
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