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20 avril 2016 3 20 /04 /avril /2016 23:20
Affaire du garçon qui aurait subi  des violences policières :  La DGSN dépêche une commission d’enquête

La direction générale de la sûreté nationale a dépêché une commission d’enquête pour élucider une affaire relative à une éventuelle agression physique dont a fait l’objet un jeune garçon dans les locaux de la sûreté de Daïra de Kais, wilaya de Khenchela, a-t-on appris de sources généralement dignes de foi.

Selon un communiqué de la ligue des droits de l’homme adréssé au directeur de la direction générale de la sureté nationale (Une copie en notre possession), le père du jeune garçon a indiqué que sa progéniture aurait subi de graves agressions par des policiers au niveau de la sureté de Daïra de Kais, distante de 22 Km du chef-lieu de wilaya Khenchela. Selon le communiqué, le garçon qui aurait été attaché durant plusieurs heures à une chaise présente des blessures graves au niveau de son corps. En plus des coups qui auraient été reçus sur la joue gauche, une déchirure aurait été constatée au niveau du tympan de l’oreille gauche, a indiqué le communiqué, citant un certificat médical d’incapacité de 06 jours. Dans son communiqué, la ligue des droits de l’homme a ajouté que cette affaire n’est pas la première du genre, plusieurs dépassements auraient été constatés à savoir : Les fouilles anarchiques, agressions des citoyens et même sur les mineurs. Dans le même communiqué, les responsables de ligue des droits de l’homme ont ajouté qu’en plus de la drogue qui fait rage, l’insécurité règne dans la Daïra de Kaïs, alors que plusieurs individus recherchés par la justice se baladent en toute liberté. Compte tenu de ce qui précède, la ligue des droits de l’homme a conclu son communiqué en réclamant une commission d’enquête de la DGSN et le départ du chef de la sureté de Daïra de Kaîs. Malgré nos efforts, nous n’avons pas pu écouter la version des services de police, notamment le premier responsable de la sureté de Daïra de Kais. « Le chef de sureté de Daïra n’est pas disponible, nous a-t-on répondu au niveau de son secrétariat,

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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 22:36
«Dawla Islamiya» Etat Islamique en Algérie :  Les Islamistes  y croient toujours

Malgré le revers subit par le Front Islamique dissous dans les années 1990, les autres mouvements islamistes y croient toujours et attendent avec impatience, le jour «J» pour instaurer un état Théocratique «Dawla Islamiya» en Algérie. Pourtant l’ensemble des partis islamistes exercent en contradiction avec les lois de la République, notamment l’article 42 de la constitution.

Photo : Une récente manifestation d’islamistes à Alger

En effet, à l’instar de l’ensemble des partis politiques dans le monde, le but recherché par les mouvements islamistes en Algérie consiste à arriver au pouvoir. En réalité, cet état de fait n’est qu’une première étape car l’objectif principal de ces organisations consiste à instaurer un état théocratique à savoir «Dawla Islamiya». Exerçant sous diverses appellations et sous couvert de plusieurs mouvements politiques, les islamistes rêvent toujours d’instaurer un état théocratique en Algérie, «Dawla Islamiya». D’ailleurs, les dirigeants de ces mouvements ne le cachent pas, ils le disent haut et fort. « Notre but est d’édifier un état islamique» a indiqué à la presse Abdellah Djeballah, président du MPR (Mouvement pour la réforme nationale). Ce n’est pas une surprise, le premier responsable de ce mouvement fondateur de plusieurs mouvements islamistes dont Ennahda, El Islah (Mouvement pour la réforme nationale), le FDJ (le Front de la justice et du développement (El-Adala)a et enfin le MPR (Mouvement pour République) est l’un des représentants de l’organisation des frères Musulmans en Algérie. La majorité des dirigeants des autres mouvements islamistes dont le MSP, l’ex- HAMAS sont également issus de la confrérie des frères Musulmans. A son jeune âge (15 ans), alors qu’il était encore au Lycée Abdellah Djaballah est tombée dans les filets de l’islamisme international. En 1974, il créa avec quelques étudiants un mouvement secret lié aux frères Musulmans. Il était également membre de la «DAAWA EL ISLAMIYA» dirigée par le Cheikh Ahmed Sahnoun. Plusieurs cadres islamistes des autres mouvements en Algérie se disputent jusqu’à aujourd’hui la représentativité de la Confrérie des fréres Musulmans. «Je suis le premier Algérien qui représente les frères Musulmans en Algérie et j’ai fait de la prison pour la circonstance», ne cesse de répéter Abdellah Djabbalah. Plusieurs dirigeants des frères Musulmans ont profité de leurs séjours en Algérie pour tenter de rassembler les responsables islamistes mais en vain. Abdellah Djabbalah e denier était depuis l’année 1977 en contact avec les leaders islamistes que ce soit en Syrie ou en Egypte dont nous pouvons citer Cheikh Mohamed Kotb, Saïd Houa et l’Egyptien Hassane El Banna. Ce dernier était pour beaucoup dans l’endoctrinement d’Abdellah Djabbalah et des dizaines d’Algériens. Ces derniers mois, les frères Musulmans sont harcelés en Egypte et dans plusieurs autres pays tels que la Syrie, l’Egypte et la Jordanie. En Egypte, la Confrérie des «Frères Musulmans» a été dissoute et déclarée organisation terroriste par l’état Egyptien. En Syrie, les frères Musulmans ont également essuyé un grand revers et n’existent pratiquement plus. C’est la même chose en Jordanie où les forces de sécurité jordaniennes ont fermé cinq locaux des Frères musulmans, au lendemain de la fermeture de ses quartiers généraux à Amman et Jerash. Les forces de sécurité ont scellé « à la cire rouge » le siège du groupe à Al-Ramtha et Irbid (nord), Mafraq (est) ainsi qu’à Karak et Madaba (sud). Cette annonce porte à sept le nombre de centres des Frères musulmans fermés par les forces de sécurité jordaniennes. Ce n’est pas le cas pour l’Algérie où les mouvements qui assurent la politique aux groupes armés islamistes continuent d’exercer en contradiction avec les lois de la République. L’article 42 de la constitution est clair: « Le droit de créer des partis politiques est reconnu et garanti. Ce droit ne peut toutefois être invoqué pour attenter aux libertés fondamentales, aux valeurs et aux composantes fondamentales de l'identité nationale, à l'unité nationale, à la sécurité et à l'intégrité du territoire national, à l'indépendance du pays et à la souveraineté du peuple ainsi qu'au caractère démocratique et républicain de L'Etat. Dans le respect des dispositions de la présente Constitution, les partis politiques ne peuvent être fondés sur une base religieuse, linguistique, raciale, de sexes, corporatistes ou régionaux. Les partis politiques ne peuvent recourir à la propagande partisane portant sur les éléments mentionnés à l'alinéa précédent. Toute obédience des partis politiques, sous quelque forme que ce soit, à des intérêts ou parties étrangers, est proscrite. Aucun parti politique ne peut recourir à la violence ou à la contrainte, quelles que soient la nature ou les formes de celles-ci. Malgré leur interdiction, ces mouvements continuent non seulement d’exercer mais ont dépassé largement les lignes rouges. Ils le disent eux-mêmes, notre objectif et de créer une « Dawla Islamiya» en Algérie. En d’autres termes, ils préparent la destitution de la république démocratique pour y instaurer un état Théocratique. En somme, il est temps pour les autorités du pays d’agir pour mettre un terme à ces partis crées dans l’anarchie avant qu’il ne soit trop tard. Les dossiers de ces mouvements qui représentent une menace constante pour le peuple et pour le pays devraient être déposés sur la table de la justice en vue d’une procédure de dissolution.

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18 avril 2016 1 18 /04 /avril /2016 21:51
Le Front Islamique du salut comme dans les années 1990 :   Une cérémonie de mariage transformée en meeting !

Le meeting organisé par les islamistes du Front Islamique à Baïnem (Alger) nous a rappelé les rassemblements tenus par ce mouvement dans les années 1990. Les militants de ce parti ont profité d’un mariage de l’un des leurs, pour permettre à Ali Belhadj de donner un prêche incendiaire et des incitations à la violence et à la rébellion.

Photo : Célébration d’un mariage ou Meeting du Fis ?

En effet, c’est encore Ali Belhadj et les siens qui se sont distingués ces derniers mois par des nouvelles sorties, détournant les lois de la République et défiant les autorités du pays. Pourtant, l’autorisation de l’organisation de mariage délivrée par les services l’APC et visée au niveau des commissariats de police (Si toutefois le document a été retiré) est pourtant très claire. Elle autorise le rassemblement de citoyens pour célébrer une fête de mariage tout en précisant la date, l’heure du début et la fin de l’évènement. Le même établi au niveau de la maire un document administratif précisant que les organisateurs doivent veiller au respect du voisinage sans tapage nocturne et ni coup de feu. Ce n’est pas le cas pour cet islamiste, membre du Front Islamique du Salut (FIS) qui a invité ses acolytes à son mariage et à leur tête le vice-Président Ali Belhadj. A la place de l’orchestre, les organisateurs ont placé une tribune dans la «Salle de fête» sur laquelle, s’est installée le vice-Président du Front Islamique du Salut en compagnie de deux cadres islamistes de ce mouvement. Avant de donner la parole à Ali Belhadj, l’animateur vêtu d’un «Kamis» a pris le micro invitant un barbu assis à la droite du lieutenant d’Abassi Madani à réciter un verset coranique. Prenant la parole, le N° 2 du Front Islamique du salut a commencé par féliciter le marié avant de tirer à boulets rouges sur ceux qui selon lui qui font la guerre contre la langue Arabe. « N’importe quelle personne qui met la langue Arabe sur la même balance qu’une autre langue du monde, cela veut dire qu’il lutte contre le Coran». Sur ce même sujet, Ali Belhadj enchaine et s’attaque aux membres du gouvernement qui interviennent selon lui avec la langue de l’occupant. Ali Belhadj est revenu sur plusieurs sujets politiques et n’a pas manqué comme à ses habitudes d’apporter des critiques au pouvoir et d’inciter à la rébellion et à la violence. Ali Belhadj est revenu également sur le sujet des vacataires de l’enseignement à qui, il a apporté son soutien. «Le pouvoir utilise la «Charia» mais ne l’applique pas», a-t-il indiqué. A ce même sujet, l’homme à l’origine des milliers d’assassinats en Algérie s’est permis encore d’offenser les hauts responsables de l’état. « Nous n’avons pas de chef de l’état. Je voudrais me présenter pour être Président de la République», a-t-il indiqué». La foule répond par « Allah ou Akbar», Dieu est grand. En somme, Ali Belhadj, Madani Mezrag Abdelfattah Hamadache et les autres intégristes continuent de défier l’état et constituent un véritable danger pour le pays.

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16 avril 2016 6 16 /04 /avril /2016 17:19
Quant «Algérie Télécom» fait l’exception :  Elle est la seule entreprise de téléphonie ne disposant plus d’annuaires téléphoniques !

L'unique annuaire téléphonique des «Particuliers» que dispose «Algérie Télécom» sur son site web a mystérieusement disparu depuis près de deux mois du réseau internet. Cet état de fait a pénalisé énormément les abonnés eux-mêmes, les citoyens à l’intérieur du pays et surtout la communauté Algérienne à l’étranger.

En effet, Algérie télécom qui garde toujours le monopole de la téléphonie résidentielle plus connue du téléphone «Fixe» ne dispose plus d’annuaires téléphoniques relatif à ses abonnés «Fixe». Nous faisons allusion à l’annuaire téléphonique sur le Site Web d’Algérie Télécom, l’ancien annuaire sur le support papier n’existe depuis plusieurs années. L’absence de cet annuaire est un véritable handicap pour les citoyens Algériens (surtout la communauté résidente à l’étranger), qui ne sont plus en mesure de rechercher un numéro de téléphone d’un parent, proche, amis ou d’un abonné quelconque en Algérie. La disparition de cet annuaire du Site Web a permis à «Algérie télécom» de faire exception, l’ensemble des pays du monde y compris le continent africain, disposent de plusieurs annuaires, notamment électroniques. Toujours et en matière de téléphonie, l’Algérie est très en retard par rapport à ses voisins à savoir, la Tunisie et le Maroc. Ces deux pays ont imité il y’a bien longtemps les pays les plus développés que ce soit en matière de téléphonie ou autres. Que ce soit en Tunisie ou au Maroc, les citoyens de ces pays ne parlent plus d’annuaires téléphoniques mais de «Pages jaunes et de Pages blanches». En somme, les citoyens Algériens continuent de manger «Le pain noir» avec Algérie-télécom en raison de la monopolisation de la téléphonie résidentielle par cet opérateur étatique. L’ouverture de la téléphonie à la concurrence nationale et internationale est vivement souhaitable, chose qui permettrait à chaque opérateur de proposer des meilleurs services et des tarifs accessibles pour tous. L’implication du secteur privé obligerait également «Algérie Télécom» à se restructurer afin de pouvoir proposer à ses abonnés une meilleure qualité de service.

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15 avril 2016 5 15 /04 /avril /2016 18:48
Saïd Saadi (Algérie» :  L’arabisation est une véritable «Prison intellectuelle» pour la jeunesse».

L’e projet portant Arabisation générale en Algérie est-il une erreur et qu’il est temps de corriger ? Dix-huit ans après, plusieurs voix se lèvent pour pointer du doigt ce projet, indiquant que non seulement, il n’a rien à porter au pays dans l’ensemble des secteurs bien au contraire, il a fait reculer le pays des dizaines d’année en arrière.

Photo : L'Arabe qui n'est pas une langue de science a été abandonnée par les arabes eux-mêmes. En Algérie, elle est toujours imposée aux enfants du peuple. Au même moment, les enfants des auteurs du projet de l’arabisation générale en Algérie se trouvent sur les bancs des écoles et universités Européennes.

En effet, les professionnels en la matière trouvent qu’une faute n’est pas faite pour être punie, mais plutôt pour être corrigée. Ces derniers ajoutent en citant un proverbe qui dit : «Se tromper est humain mais persister dans ces erreurs est diabolique». C’est pour ces raisons que nos interlocuteurs trouvent qu’il faudrait corriger l’erreur pour le bien de tous de toute et surtout pour le pays. Après les spécialistes et les professionnelles en la matière, ce sont les politiciens qui montent au créneau pour dire qu’il faudrait agir vite pour «Sauver ce qui reste à sauver» et de remettre le train sur rail. C’est le cas du Docteur Said Saadi qui trouve que le projet portant arabisation en Algérie est une erreur grave mais que personne ne veut en parler. «L’arabisation en Algérie est une véritable «Prison Intellectuelle pour la jeunesse», a-t-il déclaré lors d’une conférence animée à la maison de la culture «Mouloud Maamerie»en l’occasion du 36é anniversaire du «Printemps berbère». Durant son intervention, le docteur Saïd Saadi est revenu sur le projet portant « Arabisation générale» a indiqué que ce projet dévastatrice est un grand problème auquel est confrontée la jeunesse, mais qui selon lui, on ne veut pas y parler. A ce même sujet, le docteur Saïd Saadi a ajouté, je cite : «L’essentiel des grandes propositions novatrices, innovantes et libératrices sont produites en français. Il se trouve que l’arabisation a été une véritable prison intellectuelle pour la jeunesse et nous devons libérer, enlever, contourner cette contrainte pour permettre à notre jeunesse d’accéder à l’information comme nous avons pu y accéder, chose qui a permis aux jeunes d’échapper à la peine d’emprisonnement à perpétuité est la révolution numérique». Hormis, le courant islamiste ou les conservateurs, la majorité des dirigeants politiques trouvent que le projet portant Arabisation a entraîné plusieurs conséquences fâcheuses. Selon eux, l’Arabe qui n’est pas une langue de science a été abandonnée même par les pays arabes. Pour certains, cette langué a favorisé l’émergence de l’extrémisme antichambre du terrorisme, une véritable menace pour le pays et pour le monde. Pour rappel seulement, la loi portant «Arabisation générale» a été appliquée un certain 05 juillet de l’année 1998. Initiée par Taleb Ibrahimi, proche du courant islamiste, à l’époque Ministre de l’éducation, la langue Arabe a été introduite en force dans le système éducatif. Plusieurs de nos interlocuteurs trouvent qu’après près de deux décennies, l’arabisation n’a pas retrouver sa place en Algérie et ce malgré la loi qui a été promulguée. « L’Algérie est l’unique pays au monde qui a promulguée une loi pour instaurer une loi sur la langue», ont-ils indiqués. Ces derniers ont ajouté à ce sujet, «La généralisation de la langue arabe en Algérie non seulement échouée, elle a beaucoup influée sur les dernières générations. Que ce soit en Arabe, Français ou dans n’importe quelle autre langue, quatre Algériens sur cinq de cette catégorie ne sont pas en mesure de rédiger ou de lire correctement une correspondance. Même au niveau des terrains sportifs, la feuille de match est dressée en Français. Au niveau des certaines administrations qui ont été « arabisées» c’est vraiment «le grand bazar». Nous citons à titre d’exemple, les erreurs d’orthographes commises au niveau des services des mairies. Chaque jour, des dizaines de courriers parviennent aux tribunaux, par lesquelles les citoyens demandent des rectifications sur leurs documents d’état civil. Il est de même pour les citoyens qui soit dans la rue, les foyers ou dans les administrations, utilisent la langue Algérienne (L’arabe et le français mélangée), le Français ou le berbère. Dans la quasi-totalité des administrations à l’exception du secteur de la justice ou des services de police, la langue Arabe est absente. Il est impossible pour un citoyen de remplir un chèque en arabe ou un fonctionnaire de pouvoir imputer une opération financière sur les registres comptables en langue Arabe.

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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 22:49
Algérie : Le projet d’un tramway au Sud du pays au cœur d’un scandale de corruption

Lire l'article en PDF sur le journal "La nouvelle République" page 04 :

http://www.lnr-dz.com/pdf/journal/journal_du_2016-04-14/lnr.pdf

Le projet d’un tramway au Sud du pays au cœur d’un scandale de corruption

La presse Espagnole a relaté une affaire de corruption et de blanchiment d’argent impliquant plusieurs fonctionnaires Algériens. Après l’Algérienne des eaux et l’affaire de la station de dessalement de l’eau de mer à l’Ouest du pays, cette fois-ci, c’est le sud Algérien et plus précisément la réalisation d’un Tramway à Ouargla qui a été cité dans ce scandale de corruption.

A en croire l’information donnée par le quotidien Espagnole et reprise par plusieurs médias, la justice Espagnole soupçonne le versement des pots de vins à des fonctionnaires Algériens, pour l’obtention de la réalisation d’un tramway à Ouargla. Toujours et selon la presse Espagnole, une somme de 7 millions d’euros soit 3% du coût total du projet estimé à 230 millions d’Euros a été versé selon eux aux fonctionnaires Algériens. La même information a été également relatée par un second journal Espagnole indiquant qu’un magistrat examine actuellement les accusations dont font l’objet 18 hauts responsables politiques, dans des transactions commerciales internationales illégales, des affaires de blanchiment d'argent. Dans cette seconde affaire de corruption, les doigts se pointent vers un député Espagnole et des militants d’un parti politique Espagnole. Ces deniers sont impliqués dans le versement de «Pot de vins» aux fonctionnaires Algériens dans le but d’obtenir des contrats juteux en Algérie. Dans le rapport qui se trouve sur la table de la justice Espagnole, l’argent sale aurait été versée par une société de consulting "Unies Consultancy Services". Toujours et selon les informations publiée par la presse espagnole, la société néerlandaise BV Castelino aurait été utilisée afin de payer des fonctionnaires algériens, dont les identités seraient connues mais non encore dévoilée. Pour rappel, la réalisation du tramway d’Ouargla rentre dans le cadre du programme retenu en faveur de cette wilaya pour moderniser le secteur et mettre à niveau les prestations offertes aux usagers. La fin des travaux est prévue au mois d’octobre prochain au plus tard en fin 2016. Le tramway d’Ouargla couvrira une distance de 12,6 km, jalonnée de 23 stations, depuis le quartier En-Nasr, flanc Ouest de la ville, vers le vieux ksar. Il permettra, avec ses rames doubles, de transporter quelque 3.450 passagers/ heure, selon sa fiche technique. Le Hic est que les responsables cités dans ce scandale sont les mêmes personnes qui ont été évoquées dans la première affaire relative au «Pots de vins», impliquant des fonctionnaires de l’Algérienne des eaux «ADE». Pour rappel, cette première affaire concerne la réalisation d’une station de dessalement de l’eau de mer dans la région Ouest du pays, plus précisément dans la wilaya de Tlemcen. La presse Espagnole à l’origine également de cette information a indiqué que des cadres de l’Algérienne des eaux seraient impliqués dans un scandale de «Pot de vin» estimé à 2,5 millions d’euros. Ce montant colossal aurait été versé aux comptes de certaines familles des cadres de l’ADE en France. Pour l’instant, malgré nos efforts, nous n’avons pas pu connaitre la version des tutelles concernées par ces affaires à savoir les Ministères des ressources en eau, du transport et l’Algérienne des eaux.

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13 avril 2016 3 13 /04 /avril /2016 22:00
Khenchela (Algérie) Perturbation dans l’alimentation en eau potable

Lire l'article en PDF sur le journal "La nouvelle République" page :

http://www.lnr-dz.com/pdf/journal/journal_du_2016-04-14/lnr.pdf

Malgré les efforts considérables des services de la direction des ressources en eau de Khenchela (DHW), l’alimentation en eau potable laisse à désirer. Une grande perturbation a privé les habitants du chef-lieu de wilaya et plusieurs autres Daïras, et communes. En plus de l’absence de l’eau dans les robinets, plusieurs cas d’hépatite A, ont été signalés mais non confirmées par les services concernés à savoir : Direction de la santé et services des eaux et assainissement.

Durant l’absence de l’eau dans les robinets, les citoyens du chef-lieu de wilaya ont été contraint de s’approvisionner par le biais des citernes-camions et tracteurs. La perturbation à durée plus d’une semaine au centre-ville et dans les différents quartiers du chef-lieu de wilaya, ont indiqué plusieurs citoyens. «J’ai galéré pour pouvoir trouver une citerne d’eau à raison de 800 DA» a expliqué un médecin. Comme le dit un certain proverbe, le cordonnier est toujours le plus mal chaussé, un cadre de l’Algérienne des eaux a indiqué qu’il a été contraint d’acheter de l’eau minérale pour se laver la figure et pour préparer du café. Au niveau de la périphérie, la situation et plus pire, l’eau qui n’arrive un jour sur trois a disparu des robinets pendant plus de quinze jours, selon des habitants. Selon un élu, les quartiers de « Haï» Yousfi», cité Hasnaoui, route de Batna, Sonatiba, Boudjelbana n’ont pas vu une goutte d’eau depuis une dizaine de jours. C’est le même cas dans les autres Daïra et communes tels que «Taouziente, Kais, N’sigha el Hamma El Mahmel Ouled rechache et Babar. Les citoyens avec qui nous nous sommes entretenus accusent directement les services de l’Algérienne des eaux. Certains se sont allés même dire que cette perturbation est selon eux volontaire afin de permettre aux dizaines de propriétaires de citernes d’en profiter sur le «Dos» de la population. « La citerne est passée de 800 DA à 1000 et 1200 DA ont-ils expliqué. Ce n’est pas l’avis de certains d’autres qui même s’ils montrent du doigt les dirigeants de l’Algérienne des eaux ont indiqué que la perturbation de la distribution de l’eau est dû principalement à la mauvaise gestion. Cependant, nous avons appris que l’absence de l’eau dans les robinets est due à l’arrêt du barrage Medouar situé à Timgad, selon la DHW. Le barrage rempli à plus de 7millions de M3 ne permet pas de traiter la totalité de l’eau destinée à la consommation, selon les mêmes sources. La perturbation en alimentation en eau n’est pas le seul problème de ces derniers jours. Des informations ont fait état de la présence de plusieurs cas d’hépatites A. La plupart de ces cas ont touchés des enfants scolarisés dans plusieurs écoles du chef-lieu de wilaya et dans certaines communes. C’est le cas de l’école primaire Ibn-Cina située en plein centre-ville et l’école Houha à Sonatiba. Plusieurs élèves scolarisés qui aurait été touchés par cette maladie soit des aliments ou de l'eau contaminée ont reçu des traitements alors que d’autres ont été hospitalisés. Ces informations qui ont été donnée par plusieurs parents d’élèves mais n’ont pas été confirmées par le secteur de la santé. Malgré nos diverses tentatives, la direction de la santé de Khenchela reste depuis plus d’un mois totalement coupée du monde. Contactés par nos soins, les services de la direction de l’éducation ont tout d’abord apporté un démenti à la fermeture de certaines écoles. «Ce sont des foyers extra-scolaires», a indiqué notre interlocuteur. Au niveau de la direction de l’hydraulique, il nous a été indiqué que deux commissions ont été constituées et des sorties sur terrain ont été organisées. Un forage suspect aurait même fait l’objet d’arrêt et des échantillons ont été prélevés, a-t-on appris. En somme, pour l’instant, nous n’avons pas pu connaitre le nombre de cas d’hépatites recensés et les résultats des bilans effectués. Au moment où nous mettons sous presse, nous avons appris que l’eau est revenue dans les robinets dans certains quartiers, selon des habitants du chef-lieu de wilaya.

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12 avril 2016 2 12 /04 /avril /2016 19:23
Madani Mezrag   : Quand les terroristes deviennent des «VIP»

Lire l'article en PDF sur le journal "La Nouvelle République Page 04:

incroyable mais vrai ! Madani Mezrag, le criminel et l’émir de l’Armée islamique du salut (AIS), a été invité à un forum en Jordanie pour discuter de la lutte contre l’extrémisme islamiste. Les victimes de ce criminel auraient certainement fait plusieurs tours au fond de leurs tombes.

Photo : Lisez bien sur la plaque, en langue Arabe «El Oustedh» Madani Mezrag. Traduction : Professeur ou Maître Madani Mezrag. En réalité sur la photo, nous reconnaissons Madani Mezrag, l’émir des terroristes de l’Armée Islamique du Salut «AIS».

En effet, après Abdelhakim Belhadj, le chef terroriste du groupe islamique combattant en Libye, le «tapis rouge» a été déroulé sous les pieds de Madani Mezrag, ex-émir de l’armée islamique du salut (AIS) bras armé de l’ex-parti dissous du front islamique du salut (FIS). Le sanguinaire, tenez-vous bien, a été sollicité pour participer au Forum mondial de la voie médiane organisé dans la capitale jordanienne Amman. Ce n’est pas la première fois qu’un chef terroriste est invité à prendre part à des forums et à des rencontres de haut niveau dans plusieurs capitales du monde dont les pays disent qu’ils voulaient lutter contre l’extrémisme islamiste. Qui pourrait oublier l’autre sanguinaire libyen et ancien chef djihadiste de l’Afghanistan, en l’occurrence Abdelhakim Belhadj alias Abu Abdallah Assadaq, qui a également sillonné plusieurs capitales et fut reçu en «grande pompe» par des hauts dirigeants des pays en question. Profitant de cette aubaine, l’émir de l’Armée islamique du salut a encore profité pour «gueuler», tirant à boulets rouges sur le pouvoir algérien. Comme à ses habitudes, l’émir terroriste de l’AIS a voulu montrer aux participants qu’il est le plus fort et qu’il s’est éclipsé volontairement ses derniers temps, en raison, selon lui, de la situation désastreuse dans le pays. «Je ne voulais pas ajouter du sel à la sauce déjà salée», a fait savoir Mezrag dans un entretien à la chaine CNN en arabe. Pourtant la place de ce «vaurien» à l’origine de plusieurs crimes est en prison est non pas dans les forums ou dans les salons. C’est lui-même qui a reconnu avoir assassiné plusieurs militaires dans les maquis de l’Est algérien, à Jijel, dans les années 1990. Donc, un assassin ne pourrait jamais être blanchi aussi facilement allant jusqu’à redevenir «VIP». Même les lois de clémence, à savoir la concorde civile et la réconciliation nationale ne pourraient pas toucher ce criminel. Ces lois sont claires, elles excluent toute personne ayant commis des crimes ou avoir participé à des attentats à l’aide de l’explosif. Aucune loi au monde ne pourrait blanchir un criminel notoire auteur des dizaines d’assassinats et à l’origine de massacres commis sur des milliers d’innocents. C’est le cas de ces criminels qui comme Mezrag ont assassiné des milliers d’Algériens sous la bannière du GIA, GSPC, Aqmi et autres groupes armés islamistes. Que les organisateurs de ces forums sachent que contrairement à eux, nous ne faisons pas de différence entre le GIA, AIS, et le GSPC d’hier et Aqmi, Mujao et Daech d’aujourd’hui. Pour nous, ce sont des groupes de criminels ayant la même idéologie, la même barbarie mais avec des appellations différentes. Enfin, Madani Mezrag qui a obtenu un passeport (on ne sait comment) a représenté l’Algérie au Forum mondial organisé en Jordanie. Cet état de fait n’a pas eu lieu officiellement, l’Algérie n’a pas mandaté ce mec à parler en son nom. Il devrait en principe être interdit de sortie, en raison de sa dangerosité pour le pays et pour le monde.

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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 23:03
Algérie (Oum El Bouaghi) : Décès de deux parturientes

Lire l'article en PDF sur le journal "La Nouvelle République" page 09 :

http://www.lnr-dz.com/pdf/journal/journal_du_2016-04-12/lnr.pdf

Le décès de deux jeunes femmes durant leur accouchement dans une clinique à Aïn M’lila, wilaya d’Oum-El Bouaghi, a suscité le mécontentement et la colère des parents et proches des disparues. Ces derniers dénoncent la mauvaise prise en charge des patientes, pointent du doigt le personnel paramédical et les sages-femmes, les accusant de négligence et d’être à l’origine du décès de deux jeunes femmes.

Dans une déclaration à la presse, le parent d’une femme décédée n’a pas mâché ses mots et accuse l’une des sages-femmes. «Nous avons des témoignages indiquant que l’accouchement s’est fait normalement. C’est la chute du bébé des mains de la sage sage-femme qui a provoqué son décès.» Et de poursuivre : «La maman qui a été immédiatement informée du décès de son bébé a fait un choc émotionnel avant de faire une obnubilation et depuis, elle ne s’est pas réveillée.» Nos tentatives visant à avoir la version des responsables de la clinique et les sages-femmes sont restées malheureusement vaines. Choqués par le décès des deux femmes, les parents et proches des défuntes et plusieurs citoyens ont organisé un sit-in devant la clinique en question, réclamant sa fermeture définitive. Les parents des deux jeune femmes ont ajouté qu’ils n’excluent pas des poursuites judiciaires contre la clinique. Le directeur de la santé de la wilaya d’Oum El Bouaghi, avec qui nous avons pris attache, a rejeté ces accusations et trouve la réaction des parents des défuntes tout à fait légitime. Le directeur de la santé a ajouté que l’une des femmes enceintes aurait fait une hémorragie interne alors que la seconde est morte d’une embolie pulmonaire. «Nous avons fait des inspections au niveau de la clinique, il n’y avait pas eu de négligence», a indiqué le DSP d’Oum El Bouaghi. Ce dernier devait ajouter que le décès des deux mamans est selon lui tout à fait naturelle. Signalons que la semaine dernière, c’est une jeune femme de 34 ans et ses jumeaux qui sont décédés à Khenchela à la suite de l’accouchement

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11 avril 2016 1 11 /04 /avril /2016 20:53
Le président du Rassemblement pour la République tire à boulets rouges sur les opposants à la réforme éducative :

Lire l'article en PDF sur le journal "La nouvelle république" page 02 :

http://www.lnr-dz.com/pdf/journal/journal_du_2016-04-12/lnr.pdf

Dans une rencontre avec la presse, le président du Rassemblement pour la République (RR) s’est exprimé sur la réforme éducative, indiquant que son parti soutient et appuie les réformes éducatives entreprises par la ministre de l’Education, Mme Nouria Benghebrit. Ne s’arrêtant pas là, le Docteur Djebaili a tiré à boulets rouges sur les opposants à ce projet, les appelant de cesser leur hypocrisie en voulant prendre les parents des «enfants du peuple» pour des idiots.

A ce même sujet, le premier responsable du Rassemblement pour la République a ajouté : «Les parents d’élèves doivent se réveiller et comprendre que ceux qui les incitent à sortir dans la rue pour faire barrage au projet de la réforme éducative se moquent d’eux et les prennent pour des ineptes». Sinon comment expliquer que la majorité de ceux qui dénoncent l’occidentalisation de l’éducation par le biais de la réforme ont inscrit leurs enfants dans les écoles européennes». «Je vais aujourd’hui vous démontrer l’hypocrisie de ceux qui ne veulent pas que les enfants du peuple étudient ce que leurs enfants apprennent dans les grandes écoles du monde pour assurer leur avenir», a déclaré le président de Rassemblement pour la République. Le docteur Abdelouaheb Djebaili a enchaîné à ce sujet, déclarant : «Alors qu’ils ont envoyé leur enfants en Europe pour apprendre le savoir dans les écoles, collèges, lycées et les grandes universités de France, Grande-Bretagne, Canada, Belgique, Italie et autres, ils incitent les parents d’élèves à rejeter le projet de réforme éducative qui, selon eux, n’est qu’une porte vers l’occidentalisation de l’éducation et du pays». Le président du RR a ajouté qu’il lance un défi à l’ensemble de ceux qui s’opposent aujourd’hui à la réforme éducative en leur demandant de rapatrier leurs enfants des écoles européennes et de les inscrire dans les écoles algériennes avec les «enfants du peuple». «Je ne pense pas qu’ils vont le faire du moment que non seulement ils ont expédié leurs enfants en Europe mais ils continuent eux-mêmes de se soigner en compagnie de leurs familles dans les hôpitaux de France, Grande-Bretagne, dans les cliniques privées de Dubai, Tunisie et même en Amérique. Le docteur Djebaili s’est permis d’ironiser en rappelant le fameux proverbe à savoir : «Faites ce que je vous dis mais ne faites pas ce que je fais». «La ministre de l’Education va lancer, durant l’année scolaire 2016-2017, la deuxième génération des programmes et les premières lueurs sont déjà là», a déclaré le docteur Djebaili.

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