Selon des témoignages des centaines de combattants liés à l’organisation du GICL (Groupe Islamique combattant pour la
Lybie) activent dans les rangs des combattants de l’opposition Libyenne. Dirigés par les éléments de cette organisation, les insurgés mènent une guerre sans merci contre les militaires du
pouvoir de Kadhafi.
Photo 1: Des "djihadistes" libérés des prisons au mois de Mars 2010
Selon des sources dignes de foi, les adversaires de Kadhafi sont encadrés par des «Djihadistes» et arrivent à manipuler
les armes de guerre comme des véritables professionnels. Les membres de la dite «Djamaa al- islamiya Al Mouqatillah bi Libya». Le Groupe Islamique, coordonnent et exécutent l’ensemble des
opérations sanglantes contre l’armée de Kadhafi. Il y a une année avant le début des émeutes, la majorité des membres de cette organisation croupissaient toujours dans les prisons
Libyennes. Au mois de mars 2010, La fondation de SIF el islam fils de Kadhafi a libéré 214 islamistes dont 34 issus du groupe de cette organisation. Parmi le groupe se trouvent trois
dangereux chefs, il s’agit de trois émirs à savoir : Belhadj Abdelhakim, Cherif Khaled et Saadi Sami.
Photo 2 et 3 : Des "djihadistes" sur le terrain
La fondation Kadhafi dirigé par le fils du Président Libyen a annoncé en 2009 que les combattants Islamistes emprisonnés
ont décidé de repentir et de rompre tout lien avec Al-Qaïda. Les combattants islamistes ont profité de leurs expériences acquises au niveau des camps d’entraînements d’Al-Qaïda en
Afghanistan pour donner du fil à retordre à l’armée Libyenne, ont indiqué des témoins. Selon les mêmes témoins, l’expérience des «Djihadistes» a permis aux éléments de l’opposition
d’attaquer les casernes à Benghazi, les nettoyant complètement des militaires du pouvoir. La deuxième ville Libyenne « Benghazi » se trouve actuellement sous le contrôle des
«révolutionnaires » du 17 Février.
Grâce aux «Djihadistes» plusieurs autres villes sont tombées entre les mains des «révolutionnaires». C’est au niveau de
cette ville qu’un conseil de transition a été crée le 27 Février 2011, composée essentiellement d’ex-responsable du pouvoir et d’une branche armée majoritairement de « Djihadistes» et
de quelques ex-militaires qui ont rejoint le camp des «insurgés».